51.6 Le garçon qui ne dort pas
Datte: 03/01/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... a besoin de ça cette nuit… il a besoin de câlins… Puis, le bomécano fait un truc dément… ses bisous remontent tout doucement le long de mon cou… un frisson géant se propage sur ma peau, explose dans mon cerveau… Et j’en oublie demain, une fois de plus… il n’y a plus que le présent, et le bonheur sensuel avec ce garçon… cette nuit est une erreur, certes, une erreur qui ne se reproduira pas… alors, autant en profiter un max… Il faut à tout prix que j’arrive à me retourner vers lui… Je recule un peu plus mon bassin, le bomécano recule avec moi… profitant de cette petite marge de manœuvre retrouvée, je me contorsionne jusqu’à pouvoir me retourner lentement vers lui… Nos deux visages se font face… nos torses se frôlent… et là, je retrouve le comité d’accueil silencieux et touchant de ses bras musclés prêts à m’accueillir… heureux de me retrouver… Je ne peux m’empêcher de l’embrasser dans la pénombre… il m’embrasse à son tour… oui, ça va peut-être trop loin entre nous deux… mais il serait inhumain de ne pas succomber au bonheur de retrouver l’étreinte de ses bras, le contact avec ses lèvres, avec sa barbe douce… Il glisse la main dans mon entrejambe et il me branle… je glisse ma main dans son entrejambe et je le branle… nos mains se frôlent au fil des va-et-vient réciproques… c’est beau cette communication entre garçons, cette correspondance par le désir, par le plaisir… Sensualité et tendresse, virilité et douceur… bonne queue et bons câlins… voilà le mix explosif à la Thibault… ...
... Puis, quelque chose se produit… un petit accident vient interrompre ce moment de bonheur… Le lit n’est pas très large… Jérém prend de la place… Jérém fait comme… chez lui… et le pauvre Thibault doit être vraiment sur le bord du matelas… ce qui explique pourquoi, à un moment, son corps musclé, qui devait être jusque-là en équilibre précaire au-dessus du vide, finit par glisser sur le matelas écrasé… le bord du lit se dérobe sous le poids de son corps, et le bomécano se dérobe à mes caresses… il glisse lentement et il atterrit sur le carrelage… il atterrit sur ses pattes, avec grâce, sans un bruit, avec la souplesse d’un beau félin… Je lève la tête et je capte son regard… il me sourit… c’est un petit sourire à la fois amusé et parcouru par une étincelle coquine chargée de promesses… Le bogoss se rattrape de façon élégante, sa musculature tendue donnerait des envies à un chêne séculaire… et moi, j’ai envie de le bouffer tout cru… Un instant plus tard, il est debout… si c’est pas beau ce corps de bomécano nu, la queue tendue, me dominant de toute sa taille… j’ai envie de l’avoir en moi… je ne vais jamais oser le lui dire avec des mots… je vais essayer de lui dire avec mon corps… Alors avant qu’il puisse mettre un genou sur le matelas, je me décale un peu vers le bord du lit et je le prends en bouche… je le pompe, je caresse ses couilles, je lui fais plaisir, je me fais plaisir… je sens son excitation monter, je sens sa respiration témoigner de son plaisir… Je le suce pendant un ...