thérapie (3)
Datte: 03/01/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
– Et alors ? – Bien tu es venue et je vous ai vu avec mère vous embrasser comme deux amantes. – Hé ! Oui avec ta mère, nous avons partagé beaucoup de moments d’intimité. Maintenant qu’on est nus les deux, que penses-tu de mon intérieur, il t’attire ? – Je t’ai dit que je fantasmais sur les femmes de type hindoue. Juste que je trouve dommage que tu aies rasé ce qui est intéressant, – C’est mon mari qui me l’a demandé, il n’aime pas quand les poils se coincent entre les dents ou les gencives. Essaye et tu verras si c’est à ton goût ! – Mais dis-moi ton mari, cela lui gêne pas les cornes ? – C’est un peu comme ton père, il rêve de viande crue et fraîche. Alors je ferme les yeux sur ses galipettes et je fais de même sur les miennes. – Je commencerais bien un petit apéritif à l’étage plus haut, tu as des seins qui appellent la bouche pour les honorer, j’adore cette forme en poire. – Je t’en prie ne te gêne pas, ils sont là pour s’en servir, mais n’oublie pas la grotte d’Ali Baba, il y a plein de trésors. Me laisseras-tu essayer de goûter ton pain d’épice ? Il m’a l’air bien appétissant. – Comme pour toi, il n’est là que pour pisser, mais surtout pour qu’on s’en occupe. Ayant bien goûté les seins, il est temps de s’intéresser à la grotte d’Ali Baba Approchant son long nez de l’entre-jambe convoité, il savoure les flaveurs qui s’en exhalent, tirant sa langue, il la pose sur le sommet de la petite bite qui sort de son écrin et il commence à la sucer, continuant son exploration, il ...
... arrive sur le champ de bataille qui s’agite comme une mer par temps d’orage, mais dès qu’il se place dans l’œil du cyclone, la tempête se calme et des vaguelettes commencent à rejaillir sur son visage. – Tu es sûr que c’est la première fois que tu mets ton nez dans une minette ? – C’est pas mon nez, mais ma langue, j’aime bien ton goût. Est-ce que tu aimes mon léchage. – Très bon, mais j’aimerais sentir ton épieu au plus profond de moi, effectivement avec ce que je tiens dans la main, je me sens déjà toute chaude et toute chose. Dirigeant son artillerie vers le champ de bataille, il enfonce sa grosse Berta dans la tirelire de Luce et il commence à pomper et à faire des pompes. – C’est bon, gémit-elle, que j’aime cela quand on la sent en entier et qu’il ne reste pas de place. Je suis comblée. Au milieu du coït, la porte d’entrée s’ouvre et voila que Nicole faisant semblant d’être fâchée, surgit devant les amants, bien embrochés l’un dans l’autre. – Vous faites quoi là ? s’écrie-t-elle. – Mais ma chérie, tu le vois par toi-même, on baise. Déshabille-toi et viens vite nous rejoindre. Savais-tu que ton fils est magnifiquement outillé. – Mais tout de même, c’est mon fils ! – Raison de plus, Tu m’as bien dit que ton mari ne faisait pas le poids. Là, tu vas te régaler. La Sainte Trinité Sans autre commentaire Nicole enlève ses vêtements : – Mon fils te sens-tu d’attaque pour affronter deux tigresses affamées en manque de mâles. – Mère, laisse-moi finir Luce et tu vas voir de quel bois ...