La découverte
Datte: 04/01/2018,
Catégories:
hh,
hagé,
inconnu,
hsoumis,
cérébral,
Oral
hsodo,
À 19 ans, j’étais étudiant dans une grande ville du Sud de la France. Pour rentrer chez mes parents, à quelques centaines de kilomètres de là, il m’arrivait souvent de faire de l’auto-stop, afin d’économiser le prix du billet de train : c’est dans ces circonstances que j’allais faire une rencontre qui allait bouleverser ma vie. Ce vendredi de septembre, en fin d’après-midi, j’attendais depuis une bonne demi-heure sur une route à quatre voies à la sortie de la ville quand une vieille 2CV d’un autre âge s’arrêta à ma hauteur. Un côté du pare-chocs touchait presque le sol, la carrosserie cabossée avait dû prendre de nombreux coups, la capote était ornée d’une belle déchirure, bref, cette voiture aurait été mieux à la casse que sur une grande route. Au volant, un homme d’une cinquantaine d’années d’allure douteuse, mal rasé, au visage plutôt laid, presque repoussant, vêtu d’un bleu de travail sale. Il était large d’épaules et son ventre débordait par-dessus la ceinture. Après avoir marqué un moment d’hésitation devant un tel équipage, je décidai malgré tout d’accepter son offre pour quitter un endroit où la circulation intense n’encourageait pas les voitures à s’arrêter. Nous voici donc partis dans cette ancienne voiture en très mauvais état, sans risque d’excès de vitesse. Le conducteur se présente comme étant le contremaître d’une exploitation agricole, venu amener une pièce à réparer à un garage. Il parle sans arrêt, posant les questions et faisant lui-même les réponses, ...
... accompagnant ses paroles de grands gestes. Il m’explique les raisons du mauvais état de la voiture, en particulier du siège très inconfortable sur lequel je suis assis, où j’ai senti qu’une planche remplaçait l’assise. J’écoute à peine, par politesse, encore engourdi par le manque de sommeil de la nuit précédente où nous avions fêté l’anniversaire d’un camarade, et par la demi-heure passée sous le soleil d’été à attendre au bord de la route. Dans un geste paraissant très naturel, pour me montrer d’où venait le problème de mon siège, il toucha de sa main la partie de celui-ci visible entre mes jambes ; la voiture tanguant fort, sa main toucha l’intérieur de ma cuisse. Ce qui n’aurait dû être qu’un contact fortuit et naturel provoqua en moi comme une véritable décharge électrique. Je restai littéralement pétrifié devant cette réaction extraordinaire, car je ne comprenais pas du tout ce qui m’arrivait. Pourquoi avais-je réagi ainsi ? Si mon chauffeur s’en était aperçu, qu’allait-il penser ? Les mouvements de la voiture étant désordonnés et la circulation abondante l’obligeant à surveiller les autres voitures, j’espérai que ma réaction n’avait sans doute pas été visible. Je n’eus pas le temps de réfléchir bien longtemps, car je sentis la main s’appesantir sur ma cuisse et remonter jusqu’à mon sexe, qui se durcit de façon presque instantanée, indépendamment de ma volonté. Le conducteur devait avoir de l’expérience, car seul un habitué avait pu deviner ce que je ne savais pas encore : ...