La nuit magique (1)
Datte: 04/01/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... — Je vais sortir ce soir, papa. — Bien sûr, ma puce. Tu vas rejoindre des amis ? — Non, je vais aller en boîte pour draguer ; j’ai envie de faire l’amour. — Oui, bien sûr, tu as raison. — Si tu as envie de sortir un soir, ne te gêne pas pour moi, papa. — Merci pour ta permission, ma chérie. Je le ferai peut-être, mais je profite de vous deux. Marc n’est pas surpris du désir de sa fille de sortir pour trouver un amant ou une amante : pour eux, la sexualité n’a jamais été un sujet tabou. Les relations entre Lucie et sa maman n’ont pas toujours été très bonnes, Lucie ne trouvant pas l’écoute qu’elle espérait auprès d’une mère tournée essentiellement vers elle-même, et c’est donc naturellement qu’elle avait abordé avec son papa des sujets, mêmes intimes. Marc et elle avaient donc parlé en toute franchise de sexualité, du plaisir. Lucie a toujours fait preuve d’un caractère bien trempé, ce qui explique sans doute les relations tendues avec sa maman. Elle écoute les conseils mais les suit très peu. Elle a toujours eu un tempérament réservé ou secret, mettant ses parents devant le fait accompli, en l’imposant comme une évidence. Encore adolescente, elle avait demandé à son papa si elle pouvait ramener une copine pour le week-end, ce que Marc avait accepté après accord des parents de la jeune fille. Le soir, il avait entendu des gémissements et des cris parfaitement explicites. Et tout le week-end, Lucie avait clairement manifesté du désir pour sa copine par des gestes de tendresse ...
... devant son papa. Marc avait compris que Lucie avait d’une certaine manière affirmé son indépendance sexuelle. Depuis ce jour, elle vit sa sexualité avec beaucoup de liberté et taquine parfois son père avec des « J’ai hérité de ton goût immodéré pour la baise, papa ! » Marc débarrasse la table tout en proposant des idées de menu à Lucie. Au début des vacances, elle est arrivée avec la ferme intention d’apprendre à cuisiner. Il faut reconnaître qu’elle a montré autant de bonne volonté que d’incapacité à progresser ! Elle a donc lucidement décidé de laisser son papa s’occuper de ce domaine-là. Lucie observe son père qui va et vient de la cuisine à la terrasse, rangeant les affaires, dressant la liste des courses à réaliser ; elle se mordille la lèvre rêveusement. Marc part faire les courses, laissant Lucie jouer avec sa fille dans la piscine. — Tu appelles Max ? Il va vouloir me suivre. Lucie siffle le chien qui vient se coucher sur la terrasse près de Charlotte, qui aussitôt commence à jouer avec les oreilles du chien sans qu’il manifeste par des grognements un quelconque mécontentement. Marc descend en vélo jusqu’au petit marché. Il repense à ce que lui a dit sa fille : c’est vrai que le manque de relations sexuelles commence à lui peser. Il pourrait inviter une amie ; Lucie ne s’en offusquerait pas. Mais il apprécie ces moments avec sa fille et sa petite-fille, et il préfère se caresser matin et soir plutôt que de briser ces instants de partage avec elles. Le repas du midi est ...