1. Les animaux de Priape (1)


    Datte: 04/01/2018, Catégories: Zoophilie,

    ... — Et vous pouvez nous expliquer pourquoi nous n’en avons pas alors ? — Oui. Vous êtes l’objet d’une malédiction. Il faut la lever. — Ah oui ? Et on fait comment ? dis-je septique . — Moi, je ne peux rien faire mais je connais quelqu’un qui sait comment lever la malédiction. Je pensais qu’il allait nous envoyer vers un de ses collègues ou complices qui allait nous pomper encore plus de fric. "Vous pouvez nous l’indiquer "? — Oui, bien sûr, mais lever la malédiction exige de grands épreuves, surtout pour la femme. Il faut être bien sûr de ce que l’on veut — Bah! On peut toujours essayer. — Attention, c’est tellement spécial que beaucoup reculent. Il faudrait peut-être reconsidérer vos projets d’adoption. — Vous savez-cela aussi ? — Je sais cela aussi. Nous réfléchîmes un instant. Je me disais qu’il était doué mais que les grandes épreuves qui nous attendaient seraient surtout pour mon portefeuille. "Bien, on peut prendre le risque. Vous pouvez nous expliquer" ? dit Clara — Non, je suis bien sûr initié, mais seul le grand-prêtre peut vous expliquer la démarche. — Ah ! Il y a un grand-prêtre ! Vous pouvez nous le présenter votre chef de secte ? — Oui... et ce n’est pas une secte. On ne vous demandera pas un centime et vous arrêtez quand vous voulez, sans besoin de vous justifier. Vous signez juste une charte de confidentialité. A moitié rassurés, nous fixâmes donc rendez-vous avec lui et le grand prêtre, joint par téléphone. Au jour convenu, on vint nous chercher pour un premier ...
    ... rendez-vous. On nous fit monter dans un véhicule, puis on nous conduit, les yeux bandés au "temple". Nous étions dans une sorte d’abbaye en ruines au milieu de nulle part. On nous fit asseoir dans une jolie petite cellule et le grand maître se présenta à nous. " Bonjour. Je suis Aldéric, grand prêtre du culte du Dieu Priape". — Putain, qu’est-ce que c’est que ces conneries ? Priape carrément ? — Si vous êtes incrédules, partez me répondit Aldéric d’un ton d’autorité. C’était un homme de soixante-cinq à soixante-dix ans aux cheveux gris bouclés avec un léger collier de barbe de la même couleur soigneusement entretenu. Il portait une sorte de dalmatique blanche, ouverte sur les jambes, très transparente, qui laissait voir une musculature plus qu’avantageuse pour un homme de son âge et des cuisses de taureau très poilues. Les pieds, puissants, étaient chaussés dans des sandales dont les courroies de cuir remontaient en dessous du genou et dessinaient des mollets magnifiques. Son regard d’un bleu sombre, très intense me foudroya alors qu’il avait parlé de la voix la plus douce du monde. Il avait un grand charisme. Je me tus, honteux et gêné, en baissant le regard. Il reprit : "Priape est un Dieu exigeant. Il veut de vous un sacrifice et, après, s’il est content, il vous donnera ce que vous voudrez". "Je vous fiche mon billet qu’il ne sera pas content" dis- goguenard. Un coup d’œil fulgurant m’imposa à nouveau le silence. Décidément, ce mec avait une autorité innée. Clara demanda ...
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