Matchs de footre (2)
Datte: 05/01/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... dans la mienne. Mais cela n’occupait jamais que quatre garçons à la fois, or ils étaient sept. Loïc dont la force était en proportion avec la musculature demanda à Kévin, fortement baraqué aussi, de l’aider à soulever sa femme en lui faisant une civière de leur bras. Elle était ainsi soutenue, face vers le sol à hauteur de pubis, ce qui permit à Jonathan de venir l’enfiler par derrière en lui tenant les jambes. Corentin se faisait sucer par devant. - Faites la même chose avec Amélie ! Mais comme je suis plus lourde, il fallut recomposer les équipes. Je me trouvais donc soutenue par Corentin et Kévin. C’est Loïc qui m’enfila et je sentis bien passer le mandrin. La vache ! Quel morceau. Jamais je n’avais été secouée autant. Il me démontait et je ne pouvais pas contrôler mes cris ni même attraper la bite qui se présentait devant ma bouche. Aemi, elle pourtant, y réussissait fort bien. Pourtant, si forts que fussent les hommes, il fallut bien nous reposer, non sans avoir pratiquer un changement de sens, nous mettant sur le dos ce qui était moins confortable, et permis à tout les types de nous troncher dans cette position acrobatique. On nous déposa donc sur la table de la partie "salle à manger". Une à chaque bout, sur le dos, cuisses ouvertes, chatte béante. Les gars nous emmanchaient à tour de rôle et, grâce à la solidité du meuble, héritage familial dont je louai maintenant l’existence alors que je l’avais peu aimé jusqu’ici, deux types pouvaient s’y tenir en même temps pour ...
... se faire sucer la bite ou bouffer les roustons. Rien de tel qu’une table en chêne pour faire pousser les glands. Et ça poussait fort. Ça défilait assez vite entre nos jambes. Parfois, un gars nous remontait les jambes, nous invitant à les attraper et les replier sur nous, pour que la croupe s’arrondisse et offre un bon angle pour une pénétration sodomie profonde. Chacun avait son style mais je dois dire que Loïc déployait un tel talent qu’il était aux mâles ce que sa femme était en comparaison de mes propres prouesses, nettement supérieur. Me détruisant avec force, éclatant ma chatte avec une rapidité de mitraillette, élargissant mon cul avec son chibre épais, il m’arracha un deuxième orgasme. Les autres garçons se montrèrent moins résistants et un premier éjacula dans le con d’Aemi. Je compris, sans le voir, qu’un deuxième avait pris la place et, comme il s’apprêtait lui aussi à décharger, on me fit lever pour assister à l’explosion finale. L’intéressé n’était autre que mon mari qui expulsa son foutre en gueulant la pine rentrée jusqu’aux couilles et complètement affalé sur la meuf qui jouissait. Prends la place Manu et toi, suce la queue de ton mari... tu vas voir c’est drôlement bon. Jonathan se redressa, retira donc sa bite et Corentin mit aussitôt la sienne. Je décrassai illico le nœud de mon homme avec beaucoup de soin, prenant le tant de bien nettoyer le gland et le prépuce. Le goût de la cyprine mélangé au sperme n’était pas nouveau pour moi car nous sommes habitués à ...