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Journée d'été
Datte: 05/01/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes,
Il était presque 16H00 et cela faisait plusieurs heures, trois, presque quatre que nous échangions des balles sur le gazon du cour de tennis. Heureusement nous étions trois et cela nous permettait de nous reposer un peu entre chaque set sous ce soleil de plomb qui nous cuisait littéralement, le jardin étant exposé plein soleil. Finalement le dernier jeu s'acheva et Vincent, Johan et moi, trois amis d'enfance depuis la maternelle purent finalement nous diriger vers la terrasse. Les baskets furent les premières à partir, suivirent les T-shirt détrempés de sueur. Une boisson fraîche, un peu de repos mais toujours sous le soleil, Vincent proposa de rentrer et de prendre nos affaires pour nous doucher. Nous traversâmes la maison de ses parents et direction l'étage, sa chambre où il se débarrassa de son short, ne gardant que son caleçon américain. Johan et moi firent de même et je m'assis en tailleur sur le lit à l'opposé de Vincent pendant que Johan s'affalait sur le canapé de la pièce. Nous discutâmes alors en sirotant notre boisson de tout et de rien, des bêtises que peuvent raconter les jeunes d'à peine 17 ans que nous étions. Bien sur la discussion dévia sur le cul, enfin les filles. Avec son mètre quatre-vingt six et sa gueule de Tom Cruise à l'époque de Top gun, Vincent était de loin le plus beau gosse de la classe, svelte avec une musculature dessinée sous la peau et une tignasse brune sur la tête il avait tout du séducteur et les filles lui courraient après mais à part ...
... quelques flirts il ne s'était jamais mis avec une fille. Johan lui était un peu plus petit mais quand même au delà du mètre quatre-vingt, Svelte aussi mais à la musculature plus proéminente, les bras et les jambes recouvert d'un fin duvet roux, roux comme sa chevelure. Nous savions qu'il ne sortait avec personne et était encore vierge. Quant à moi.... et bien je n'avais pas à rougir de mon mètre soixante dix sept ni de mon corps imberbe, des yeux et une chevelure noisette, des traits qui trahissaient les origines de mon grand père paternel le Japon. La discussion ayant été un peu salace, nous avions tout trois un début d'érection sous les caleçons. Johan fini par se lever, je put apercevoir la forme de son sexe bandé se dessinant au travers de ses boxers gris moulants, il s'excusa et parti aux toilettes. A peine deux dans la pièce que Vincent me sourit et poussa son caleçon américain vers le bas, révélant son sexe dur à mes yeux. Cela ne me gênait absolument pas car il était le premier sexe autre que le miens que j'avais vu, nous avions partagé des branlettes et sans que personne ne le sache depuis quelques mois étions devenus des amis avec bénéfice mutuel. Moi j'hésitais, Johan n'était qu'à quelques mètres de là et pouvait revenir n'importe quand mais de l'autre côté il y avait ces 18 centimètres de chairs bandées. Il ne dit rien mais sourit à nouveau et se débarrassa de son caleçon avant d'écarter un peu plus les jambes. Il n'en fallu pas plus pour que je me glisse sur le bord ...