La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°937)
Datte: 05/01/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... j’officialise une nouvelle fois ton entrée définitive dans Mon Cheptel en prenant possession de ce qui m’appartient devant tous ! Et sur ces mots, Il défit Son pantalon et me pénétra d’un coup jusqu’à la garde. Comme Il l’avait annoncé, c’était une prise de possession, presque violente, en tout cas viril, toujours pour me marquer ! Ce fut bref, intense, bestial. N’ayant pas reçu l’autorisation de jouir, j’attendis qu’Il se vide au fond de ma chatte brulante et trempée. Il se retira, se rhabilla et referma la porte de mon Cachot sans que je n’aie fait un geste ni proféré le moindre son, comme la chienne dressée que j’étais. Tous repartirent, sans que je n’aie la moindre idée, ni de l’heure qu’il était, ni de ce qui allait m’arriver. Je ne savais pas du tout quel était le comportement à adopter dans ces cellules. L’extinction des lumières se fit automatiquement. Je me couchais donc dans le coin où se trouvait une panière rembourrée et une chaude couverture, mais j’eus du mal à trouver le sommeil. Il s’était passé trop de choses bien trop excitantes mentalement et physiquement, tellement intenses. J’avais éprouvé tant de joie ! Je me sentais réellement bien, à ma place, plus aucun souci ne m’effleurait… Au bout de ce qui me sembla être au moins deux heures, la porte de mon Cachot s’ouvrit, et le Maître en personne entra. Immédiatement, je me prosternais au sol. - Ma chienne soumise Aphrodite MDE, je sais que tu as mérité une récompense cette après-midi. J’ai ...
... décidé de te l’accorder maintenant. Tu passeras cette nuit avec moi, dans ma chambre. J’espère que tu mesures l’honneur qui t’est accordé. Je m’aplatis encore plus au sol, pour Lui montrer ma profonde reconnaissance. Nous remontâmes donc les étages jusqu’à Sa chambre et je passais la nuit la plus débridée qui puisse être permis de vivre ! Je fus prise toute la nuit, par tous les trous, que ce soit par Sa noble Verge ou par des objets aussi divers que variés, dans toutes les positions imaginables, attachée ou non, avec bandeau ou sans, entendant ou étant sourde, ayant le droit de crier ma jouissance, ou devant jouir en silence, ou encore en ayant l’interdiction d’avoir un orgasme. Etant passée devant une impressionnante pendule dans les couloirs, j’avais vu qu’il était à peine minuit. Nos ébats durèrent douze heures. Le Maître s’était arrangé pour déplacer Ses rendez-vous. A midi, Walter nous amena un repas que Lui prit sur une table placée devant une baie vitrée donnant sur une magnifique vue sur le parc, et moi à quatre pattes sous la table, à ma vraie place. A la suite de ce déjeuner succulent, il faut l’avouer, n’ayant pas eu droit à la bouillie des soumis mais au même repas que le Châtelain, coupé en morceau pour que je puisse l’ingérer dans ma position de chienne, le Maître me reconduisit dans mon Cachot, m’intimant l’ordre de me reposer jusqu’au lendemain matin, et cette fois-ci, je n’eus aucun mal à m’endormir… et de plus est si heureuse … ! (A suivre …)