1. Le boisé derrière chez moi


    Datte: 05/01/2018, Catégories: Anal Gay

    ... m'apercevoir si les mecs me mataient ou non. Je plaçai donc ma tablette près de moi et m'allongeai pour me faire bronzer, gardant les yeux entrouverts et les cuisses bien écartées. Je lançai un regard autour de moi et, n'y voyant personne, je me mis à me tripoter le sexe, de sorte à le faire grossir. Fallait ce qu'il fallait... Je devais savoir si ce bois derrière chez moi allait devenir un terrain de jeu. Et puis d'autres hommes arrivèrent et là, je vis qu'ils ralentissaient le pas en passant près de moi, le regard bien fixé sur mon corps ou disons-le, sur la bosse de mon slip. J'étais heureux comme un enfant sur une balançoire. Par contre, personne n'arrêtait, poursuivant leurs pas et tous, entrant dans le boisé. Je compris donc que tout se passait là et quoi de plus normal? J'enlevai donc mon slip et enfilai mon bermuda, gardant bien entendu la fermeture éclair baissée. J'enfouis ma tablette dans mon sac, ainsi que mon gilet et me levai pour entreprendre une chasse aux mecs. J'entrai dans le boisé, suivant le sentier que tous les mecs avaient emprunté, m'assurant bien que mon membre demeurait bien dur sous mon bermuda. J'entrevis alors ce mec à la chevelure noire, le cul bien en vue, qui attendait qu'une queue s'y introduise mais non, il ne me plaisait pas. Je passai tout près et poursuivit mon chemin et c'est là que je le vis, appuyé contre un arbre, son jeans entrouvert. Une bête, comme je les aime. Il devait avoir autour de 45 ans, les cheveux rasés, un énorme tatouage ...
    ... sur le bras gauche et une barbe de quelques jours. Il donnait l'impression d'un bûcheron en pause. Je ralentis le pas en lui jetant un regard mais lui, de son côté, ne fit rien. Il demeura de glace. Je m'arrêtai tout bonnement et sortis ma queue de mon bermuda. Il n'était pas question que je manque ce dieu grec et surtout, cette queue que je percevais sous son jeans. Lentement, je m'en approchai, ma main toujours sur mon sexe dur et me plantai droit devant lui, sans rien dire. Doucement, ne sachant trop comment il réagirait, je me mis à caresser sa poitrine velue. Il demeurait toujours de glace mais ne s'opposait pas à mes caresses. Son regard pointait je ne sais trop quoi mais il ne me regardait pas. Lentement, je glissai ma main le long de son ventre et je pus enfin sentir sa queue durcie. Il ne bougeait toujours pas et je me demandais bien ce qu'il désirait enfin. Si je ne l'intéressais pas, pourquoi ne me le disait-il pas? Il se laissait tout de même tripoter le machin et son érection montrait bien que ça l'excitait. J'approchai mon visage du sien et c'est là qu'il dit: " Ne t'avise jamais de m'embrasser". Je reculai légèrement car son ton démontrait bien que je me devais de l'écouter. " Tu es ici pourquoi au juste?" demandai-je. "Tu veux le savoir? Baisse ton bermuda et tout de suite". Je m'exécutai aussitôt et il me plaqua, face contre l'arbre. " Écarte tes jambes et donne-moi ton cul". Je compris donc que ce qu'il désirait n'était rien d'autre que de m'enfiler sa queue ...