1. une famille pas ordinaire (6)


    Datte: 06/01/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... vas vite apprécier. Je m’enfonce en elle en élargissant les parois de son petit trou, ses fesses sont ouvertes comme jamais et je la vois grimacer, à ce moment-là elle ne prend pas encore de plaisir. Cette intrusion lui fait mal et lui arrache des larmes accompagnées de longs gémissements. Elle essaie de se retirer mais je mets ma deuxième main sur son autre hanche et propulse avec puissance mon bassin. Elle hurle sous la douleur et comprend qu’elle ne peut échapper au supplice. Mais en même temps, elle n’a pas envie que ça s’arrête et ne veut pas me décevoir, elle encaisse mon engin avec courage et m’avoue : -Damien, je souffre tel une suppliciée, je veux que tu m’empales à fond sur ton obélisque dressé ! J’arrête ma poussée et la rassure: -Ça va aller. Tu as fais le plus dur. Tu as pratiquement mon gourdin de 26 centimètres entre les fesses. -Ça, je m’en suis rendue compte, je n’ai jamais été aussi remplie ! Ton énorme engin est dressé comme un tuteur en moi, m’empêchant de me pencher ou de me relever. — Je ne peux plus bouger, je suis complètement paralysée par cette colonne de chair à l’intérieur de moi et les muscles de mon anus se contractent autour de ton pieu extraordinaire, comme pour essayer de l’en expulser, je me sens investie, possédée, j’ai l’impression qu’il remonte jusque dans mon ventre et que jamais il ne s’arrêtera... Je ne bouge plus pour lui permettre de s’habituer à l’intrus pendant 2 minutes avant de recommencer à m’enfoncer un peu plus en elle. Elle ...
    ... reprend son monologue : -Je sens mes fesses s’ouvrir, petit à petit, la douleur se mélange au plaisir. Je sens tes lourdes bourses s’écraser contre ma vulve. Ça y est, tu es entièrement en moi. Je l’expulse de mon chibre et la retourne sur le dos pour mieux la sodomiser et attire son attention sur ce qui va suivre : -Allez, en piste pour le rodéo ! Tu as un cul génial. Maintenant, je vais te défoncer, mais si c’est trop pour toi, préviens-moi et je stoppe illico. Ok ? Elle me rétorque dans un râle: -Parle moins et agis, tu verras que je supporte bien, je suis une grande fille ! Je la prends au mot et l’encule dans des poussées de plus de vingt centimètres. Elle recommence son reportage radio : -J’ai un peu mal, mais la sensation est indescriptible. Je sens ton membre si épais coulisser dans mes fesses, me remplir puis un grand vide quand tu te retires ! Jamais je n’ai ressenti ça avec d’autres partenaires ! Je suis comme une marionnette désarticulée que tu animes de l’intérieur. Ses muscles se relâchent complètement, Elle gémit, râle, crie. Des larmes de douleur ou d’extase coulent sur ses joues, quelle sensation ! J’accélère le rythme jusqu’à devenir brutal me défoulant dans sa raie culière. Je tiens quelques longues minutes avant de tout lâcher et je lui éjacule dans ses entrailles une bonne dose de foutre. J’ai à peine sortie ma verge du cul de Sandrine complètement dilaté que ma sœur, pas gênée une seconde par l’endroit ou traînait ma teub, ne peut se retenir de me caresser ...
«1...3456»