1. Il le faut mon amour ! (1)


    Datte: 06/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... de l’amour de Corto. Je me nourris de leur désir de bête, celui là même qui est à l’oeuvre dans l’accouplement! Ce désir, porté par nos instincts les plus primitifs, peut être une source de plaisir incroyable quand il s’accompagne d’amour et de respect.Comme tu me l’apprends chaque jour mon amour. xpexrrkl Tu souffles délicatement sur mon corps et c’est délicieux, je frissonne. Tu as posé ta main sur mon front et tu m’accompagnes quand mon corps se crispe sous des vagues de plaisir. Mais tu as décidé que ce soir nous irions loin, que j’irai loin dans la recherche du plaisir. Un sexe cela s’éduque, alors délicatement tu viens t’abreuver à la source de ton désir et étancher ta soif de moi entre mes jambes. Tu sais que juste après ma jouissance, mon petit bouton est sensible. Il dégonfle donc et comme la nature est bien faite, il retrouve sa place, à l’abri dans son petit capuchon.Tes lèvres se posent sur l’intérieur de mes cuisses, là où c’est le plus gras et le plus sensible. Je sens ta barbe de 3 jours effleurée ma peau. Tu souffles sur mon sexe brûlant. Tu me rafraichis l’espace d’un instant. Puis tu relèves la tête pour me regarder droit dans les yeux "Je t’aime Soraya! Ma berbère bandante et impudique!" Tu introduis délicatement un doigt en moi, tu évalues mon degré d’humidité interne. J’adore quand on joue à ça. Sur une échelle de 1 à 10, tu m’évalues à 5. "Tu peux mieux faire Soraya"Je veux que tu sois à 9 dans 10 minutes." Les hommes de l’autre côté de la grille qui ...
    ... étaient restés silencieux pendant ces derniers instants, se remettent à s’agiter .Et je dois avouer que cela m’excite à nouveau, je suis cambrée , les jambes bien écartées, les chevilles attachées, je ne peux rien cacher de mon intimité et de mon état. Il n’aura pas fallu 10 minutes pour que j’atteigne la note de 9. Corto,délicatement, est allé vérifier. Les yeux fermés à nouveau je me concentre sur mes sensations, internes, externes. Soudain je prends conscience du silence. Tu es penché sur moi et tu me glisses à l’oreille: "Il le faut mon amour" ! Un bruit métallique! Tu as ouvert la porte des enfers. Effrayée, je vois se précipiter vers moi une vingtaine de mâles en rut. Ils son déchainés! Je ne peux pas m’empêcher de penser au processus de sélection et de mâle dominant à l’oeuvre dans le règne animal. Drôle de pensée pour un moment pareil! Mais c’est exactement ce qui se passe sous mes yeux! 2 mâles se disputent l’intérieur de mes cuisses, certains s’attaquent à mes seins ou à ma bouche, les moins farouches, ou les plus malins se tiennent à distance en se branlant. Le premier mâle qui me pénètre éjacule très rapidement dans un râle qui résonne bruyamment dans cette enceinte voûtée. Un autre prend sa place, mon corps n’est plus qu’une surface de chair disponible pour ces mâles déchainés. Toutes leurs frustrations générées par mes provocations de toute à l’heure s’expriment dans la violence des coups de reins qu’ils s’ingénient les uns et les autres à me mettre tantôt entre ...