La croisière continue, les expériences surprenantes aussi
Datte: 06/01/2018,
Catégories:
grp,
couplus,
cocus,
copains,
vacances,
sauna,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
Partouze / Groupe
échange,
... tee-shirt dessous. Je comprends qu’elle se met à l’aise pour se battre. L’excitation du combat monte en moi. Il va falloir être rapide, ils ont des couteaux et peut-être des armes à feu. L’homme se méprend complètement sur ce qu’elle fait, il est convaincu qu’elle se déshabille pour lui. Sophie, en s’avançant vers lui, s’est intercalée entre lui et moi. Elle va donc s’occuper de lui et me laisse les deux autres, au moins, nous n’aurons pour l’instant pas d’adversaire dans le dos. Le patron s’adresse aux autres. — Emmenez-moi cet imbécile à l’étage et appelez Ilia pour s’occuper de lui, il ne sera pas dit que je l’aurai mal accueilli. Quant à la fille, je m’en occupe. Je suis déçu. Quand je passe à l’action, les deux hommes ne comprennent pas que je les attaque, je peux les aligner comme à l’exercice au sac. Je ne m’en prive pas, je réussis à les assommer tous les deux en quatre coups. Le patron est allongé au sol, Sophie le bourre de coups de pied dans les côtes qui vont laisser des traces. Je crois même que j’entends une côte craquer. Je la prends par la main et l’entraîne vers la porte. Elle m’arrête et prend le temps de fouiller l’homme, puis son bureau avant de partir, elle fait bien puisqu‘elle trouve un pistolet non pas sur l’homme, mais dans le tiroir de son bureau. Je trouve l’idée bonne et je m’empare des couteaux de mes adversaires. J’entends la serrure de la porte d’entrée cliqueter et je me place derrière la porte du bureau pour accueillir les hommes de ...
... l’escalier. Ils parlent en arabe. Au moment où ils entrent, je leur tombe dessus en frappant de toutes mes forces. Le premier s’écroule, mais le deuxième a réussi à parer partiellement mon coup et il me frappe du couteau qu’il avait à la main. J’ai beau me reculer, je sens une brûlure au ventre. Je bloque et je lui assène un coup de tibia dans l’entrejambe. La douleur lui fait lâcher son couteau, je le finis de deux coups directs au visage et au foie. Il s’écroule enfin. Je dis à Sophie de remettre sa robe et son foulard, on sera plus discrets comme ça. Elle s’approche de moi et soulève ma chemisette. Des taches de sang commencent à apparaître. Par bonheur, la blessure n’est pas grave, elle me regarde et me dit : — Tu vieillis mon amour, jamais il n’aurait dû te toucher ! T’as vu que tu saignes de la main aussi ? Elle rit. — Mets un des coussins plats du canapé contre ton ventre, ça ira jusqu’au bateau. Ta chemise n’est pas trop déchirée. Partons d’ici avant qu’ils ne se réveillent. Je déchire le tee-shirt d’un des gars pour enrouler une bande autour de la main gauche. La peau sur les phalanges est coupée, j’ai dû toucher les dents de l’un d’entre eux. Elle retourne mettre un dernier coup de pied au chef, pour le fun, et nous quittons la maison sans autre difficulté. Sur le boulevard, nous cherchons un moyen de retourner au paquebot, nous ne voulons pas rester sur un grand boulevard trop exposé alors nous nous engageons dans une rue parallèle qui semble assez animée. Au bout d’une ...