Epizode 1
Datte: 06/01/2018,
Catégories:
h,
fff,
fffh,
fbi,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
délire,
fantastiqu,
hfff,
... le jardin de cette villa ressemble à une des jeunes mères qui attendent leurs enfants, comme Denis, le soir à la sortie de l’école. Il était impossible de ne pas prêter attention à ses longues jambes, toujours montées sur talons hauts et ses fesses : hypnotisantes, tout comme ses longs cheveux noirs. Marie est allongée, endormie dans une chaise longue ; Denis est stupéfait de voir sa femme ainsi nue et insouciante, elle qui avait déjà du mal à faire l’amour avec de la lumière ! Natacha est aussi allongée dans un transat, elle a aussi les yeux fermés, mais elle ne dort pas : une autre femme est à genoux, la tête entre ses jambes, ses mains (tout comme sa langue certainement) la caressant doucement. La petite secrétaire sirote tranquillement un cocktail, accoudée à un bar, discutant avec une autre femme, toutes deux perchées sur des tabourets hauts, les jambes croisées pour Estelle alors que l’autre les a légèrement entrouvertes, une main sur son intimité se mouvant par des gestes très naturels d’autosatisfaction, comme si de rien n’était. La jeune maman, dont Denis ne connaît même pas le prénom, est allongée, enlacée dans les bras de deux autres femmes. Elles semblent s’être toutes endormies ; il n’y a pas de doute possible quant à leur activité ayant précédé cette sieste ! Denis bande "comme un âne" ; mais sur une branche, c’est franchement pas confortable, c’en est même douloureux ; il soulève tant bien que mal son bassin, quand soudain : crrrrrrrrraaaaaaccc ! Ce n’est pas ...
... la chute qui blesse Denis, mais en roulant, il est stoppé par la bordure en pierres que sa tête vient heurter de plein fouet. Inconscient, il gît sur le bord de la piscine, très vite entouré de toutes ces splendides créatures. *** Quand Denis rouvre les yeux, c’est Estelle, la secrétaire des ressources humaines, qu’il voit en premier. Elle est assise à côté de lui. Calfeutré sous de luxueux draps de soie, ce lit lui semble immense. Il se redresse sur les coudes, touche son front. — Ça c’est de la bosse, s’exclame-t-il.— T’as de la chance que Chantal soit diplômée en médecine, lui rétorque Estelle, ajoutant : tu as dormi plus de vingt-quatre heures d’affilée, il est 18h30 ! Alors qu’elle allait partir, Denis l’interpelle : — Estelle, attends ! Tu pourrais peut-être m’expliquer ce qui se passe ! La jeune secrétaire se retourne stupéfaite. — Comment connais-tu mon prénom ?— Ben quand même, on se voit presque tous les jours au travail, on discute… On se connaît, quoi !— Non, je crois pas… lui répond Estelle. Bouge pas, je vais chercher Chantal, soit ce qu’elle t’a donné te fait délirer, soit le choc t’a causé de plus graves séquelles qu’on pensait ! Elle quitte alors la pièce, que Denis prend le temps de contempler. Elle est très grande, une ambiance "mille et une nuits", dans les tons rouges, orange et jaunes. La lumière, filtrée par des rideaux de fines lamelles, y pénètre par une immense baie vitrée donnant directement sur la piscine. Moquette au sol et tenture suspendue au ...