Epizode 1
Datte: 06/01/2018,
Catégories:
h,
fff,
fffh,
fbi,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
délire,
fantastiqu,
hfff,
... n’avons pas vu d’homme, tu peux t’imaginer… Bref, nous te proposons de t’héberger, tu seras nourri, logé, blanchi… En contrepartie, tu devras répondre à… toutes nos sollicitations. En disant ça, elle glisse sa main sous les draps pour la poser sur celle de Denis. — Et si je refuse ? s’exclame Denis.— Ben c’est pas grave, on arrivera bien à te ligoter au lit, lance Natacha. L’idée d’être attaché n’est pas pour déplaire Denis, mais il préfère préciser : — Qu’entendez-vous par "toutes nos sollicitations" ? À ce même instant, toutes se rapprochent encore un peu plus de lui, le lit est plein, des mains se posent naturellement sur tout son corps. Sous les draps, la main de Chantal glisse le long des doigts de Denis, s’immisce entre eux, frôlant ainsi son sexe, en remontant doucement, Denis lève sa main, alors que celle de Chantal prend possession du pénis déjà en feu. Elle lève la tête et annonce à l’assemblée : — Ce pauvre homme est certainement soufrant encore, il est chaud, je le sens très tendu et il semble animé de convulsions. Levons ce drap. Elle se penche alors vers lui, lui chuchotant à l’oreille : — Oui, là encore ce n’était pas très "médical", mais elles attendent ça depuis si longtemps, et moi la première. Elle l’embrasse alors goulûment, en une fraction de seconde, sa langue a parcouru toute la bouche de "ce pauvre homme". Simultanément, le drap s’envole et toutes les mains envahissent le corps de Denis. Subitement, Chantal met le holà : — Attendez les filles, on ne ...
... peut quand même pas le violer, l’épuiser ainsi ! J’ai préparé spécialement pour lui quelques "médicaments", aussi nous devrions, dans un premier temps, les lui donner, puis dans un second temps… Elle sort alors du tiroir de la table de nuit deux petites fioles transparentes contenant des préparations "pharmaceutiques" liquides, l’une est ambrée, la seconde d’un beau violet. En lui tendant, avec un sourire fier : — Cul sec, les deux. Denis semble sceptique, elle ajoute : — Quoi ? T’as peur de quoi ? Devant une telle assurance, nonobstant le sentiment de servir de cobaye, il engloutit les deux sirops. (Il aurait mieux fait de finir par le violet, l’ambré n’est vraiment pas bon.) Durant quelques secondes qui semblent une éternité, toutes les femmes restent là, les yeux fixés sur l’entrejambe de Denis, sans mot dire. Chantal reprend la parole, brisant le silence : — Hé ! ce n’est pas une potion magique, ça n’a pas un effet immédiat ! Pour une meilleure absorption, il faudrait qu’il mange.— Ça, c’est une bonne idée ! s’exclame Denis. Il se lève alors, descend du lit, fait quelques pas avant de constater qu’il ne bande plus, mais en se dirigeant vers le salon, il sent des mains caresser ses fesses, ses hanches, son dos ; de plus il suit trois femmes, ses yeux sont figés sur leurs superbes fesses. Son membre se durcit de nouveau. Arrivé dans le salon, une immense table de banquet, en "U" est dressée, avec de longues nappes blanches ; deux filles vêtues, mais seulement d’un petit ...