1. L'amour d'un père (12)


    Datte: 06/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... J’apprends des choses qui me choquent, comme Sébastien qui se taperait apparemment sa mère, ou Erika qui baiserait aussi avec grand-père. Finalement, je me rends compte que tout le monde baise avec tout le monde dans cette famille, mais qu’on s’en cache parce que personne n’ose en parler ouvertement. J’aimerais que ça change, j’en ai marre des secrets. Avant de dormir, Lucas vient me rendre visite. Après m’avoir utilisée pour tirer un coup, nous parlons des révélations de cet après-midi. Il est tout aussi choqué que moi que Sébastien couche avec sa mère, pourtant, il me confie également qu’en y repensant, il est séduit par l’idée de faire ça avec la nôtre. — Tu n’es pas bien ? lui fais-je, outrée. — Et pourquoi pas ? Elle est belle notre maman, nous l’aimons beaucoup et l’inceste ne semble pas être plus un problème pour elle que pour nous. Si elle me demandait de lui faire l’amour, je crois que je ne pourrais pas lui dire non. Je le réprimande mais il n’en démord pas. Je lui fais la gueule tellement je suis scandalisée pour tout cela, ou peut-être suis-je un peu jalouse aussi, je ne sais pas. Nous restons en froid quand il s’en va. Il est troublé par ses propres sentiments. La nuit, avec tout ce qui s’est passé aujourd’hui, je fais un rêve étrange, surréaliste même. Il m’a tellement marqué que j’arrive encore à m’en souvenir jusqu’au moindre détail. Je suis nue, mon frère m’a lié les poignets et me tire par une corde comme si j’étais sa prisonnière. Il me conduit à ma ...
    ... faculté, les gens me regardent bizarrement dans la rue. Nous entrons dans le bâtiment et nous nous dirigeons vers les toilettes des hommes. Là, il m’y abandonne en m’attachant à un tuyau, il y laisse un carton où il est écrit "Pute gratuite, servez-vous" et un petit tableau noir avec une craie où il est écrit "compteur". Je ne comprends pas ce qu’il se passe, je suis terrifiée. Je supplie de ne pas me laisser comme ça, mais il n’en a rien à faire. La position dans laquelle je suis n’est pas agréable, je suis obligée de me courber, présentant ainsi mon cul au premier qui passe. J’ai tellement honte, je prie que personne ne me voie comme ça. Quelqu’un entre, mon cœur s’arrête. Je me retourne pour savoir qui c’est. Je ne le connais pas ; je ne sais pas si c’est une bonne ou une mauvaise nouvelle. J’essaie de parler pour le supplier de me libérer ; mes lèvres remuent mais aucun son de sort. Je suis devenue muette. Je tente de crier, mais en vain. Surpris, il me regarde, nue, la croupe offerte, puis lit le carton. Le désespoir me submerge lorsque je le vois en train de défaire son pantalon. Non, ce n’est pas possible, il n’est pas sérieux ! Il ne va quand-même pas... Et bien si... Sans même me dire un mot, il m’attrape par les hanches et m’emmanche avec son gourdin. Il se sert de moi comme un vulgaire trou à bites. Il me lime fort pour se faire jouir sans chercher à me donner du plaisir. Je suis juste une pute à ses yeux, l’occasion facile de tirer un coup. Je n’arrive pas à croire ce ...
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