1. L'amour d'un père (12)


    Datte: 06/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... je ne t’aurais jamais imaginé en train de faire ce genre de choses. Tu aimes vraiment ça ? — Oui, fais-je laconiquement. — Tu es vraiment fantastique ! Il me fait rougir. Il me lime pendant plusieurs minutes, puis il m’échange avec mon frère. Ils font ça plusieurs fois. Je ne bouge pas, je me laisse faire. Mon cul n’est plus que leur garage à bites dont ils abusent à cœur joie. Ils veulent changer de position et me font m’allonger sur le dos sur le lit. Sébastien s’éclate dans ma chatte pendant que Lucas réclame à ce que je le suce. Je suis leur pute, leur jouet. Ils m’utilisent pour se faire plaisir sans se soucier de moi. Cela me fait jouir une première fois. — Putain mais quelle salope ! s’exclame Sébastien en voyant ça. — Je te l’avais dit. Cela l’encourage à y aller plus fort. Ils échangent leurs places, ils me bourrent sans retenue, je suis au paradis. Je suis avec deux hommes que j’aime et qui exploitent mon corps tant ils me veulent. J’aime tellement me sentir désirée. Je suis si facile à allumer aussi, il me suffit de voir une queue dure pour me faire mouiller. Je veux que me baiser les rende heureux. Je veux être au centre de leurs fantasmes ; surtout Sébastien, je voudrais qu’il délaisse sa salope de sœur pour moi tellement il me trouve bonne. Ils me prennent dans toutes les positions imaginables. Ils me font jouir plusieurs fois. Je ne sais pas comment eux font pour tenir. Tandis que je chevauche Sébastien à sa demande, je sens soudain mon frère arriver par ...
    ... derrière. Je comprends très bien ce qui va se passer, je n’en reviens pas. Je suis terrorisée à l’idée de mon premier double, mais brulante d’envie aussi. Comme toujours, je ne dis rien. Je laisse Lucas m’enculer alors que j’ai déjà la bite de mon cousin dans la chatte. La première pénétration m’arrache un cri, cela n’a rien à voir avec nos jeux avec le plug. Ils attendent quelques secondes avant de me labourer les entrailles. Je n’ai jamais rien senti de pareil. Les premières minutes sont particulièrement pénibles. Je faillis leur demander d’arrêter plusieurs fois. J’espère naïvement que les larmes qui coulent le long de mes joues suffisent à leur faire comprendre que je n’aime pas ça ; puis avec le temps, la douleur passe et je commence à prendre du plaisir. Leur rythme est tantôt inversé, tantôt synchronisé. Je n’arrive pas à croire ce que mon corps est capable d’endurer. — Regarde moi ça, la salope, on dirait qu’elle prend son pied, fait remarquer mon frère. — Putain, Lily, tu cachais bien ton jeu. Je suis incapable de leur répondre. Je leur crie mon bonheur à tue-tête. Je pleure maintenant de joie. Je suis pleine de bites. Je les veux, elles sont à moi, rien qu’à moi. Je suis une véritable nymphomane qui n’a aucune limite. Je voudrais qu’ils me baisent ainsi pendant des heures. Ils n’en reviennent pas quand je jouis sur leur queue. Ils me traitent encore de tous les noms. Mes orifices ne sont plus que des cratères lorsqu’ils sortent enfin de moi. Je me sens vide, anormalement ...
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