1. L'amour d'un père (12)


    Datte: 06/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... Voilà le moment que je redoutais, les choses deviennent sérieuses. C’est quand-même plus facile d’être passive. Je m’approche et démarre mon cunni. Je m’applique avec beaucoup de sérieux. Elle m’a donné du plaisir et je tiens à le lui rendre. Je veux la faire jouir comme elle m’a fait jouir pour la remercier. Je me prends bizarrement au jeu, c’est agréable de jouer avec une chatte, même si je préfère avoir une bonne bite dans la bouche. Elle mouille beaucoup mais je trouve que ça goûte bon. Je la bois littéralement à sa source. Je la regarde en train de se tordre. Son bassin ne tient pas en place et que je dois l’agripper fermement pour pouvoir continuer à la lécher. J’en déduis que je fais bien mon travail. La situation me fait moi-même beaucoup d’effet. Elle est belle ma cousine, je l’ai toujours enviée. Cela me fait quelque chose de la voir prendre son pied et de me dire que j’y suis pour quelque chose. Je ne suis pas en train de devenir lesbienne, mais je pense qu’avec elle, cela ne me dérangerait pas de retenter l’expérience. Je ressens une certaine fierté quand elle jouit finalement à son tour. Elle gémit de bonheur. Une fois calmée, elle me regarde les yeux pétillants de passion et vient m’embrasser. Je crois que j’aime ça, ses lèvres son douces. J’ai ce réflexe idiot de vouloir me serrer contre elle. Elle me rend son étreinte comme un amoureux : — Hmm, tu as été parfaite Lily. Je n’aurais jamais pu rêver de meilleure partenaire pour une première fois. — Moi aussi, ...
    ... dis-je à ma plus grande surprise. Nous discutons un peu. Elle me confie qu’elle avait une amie lesbienne avec qui elle aurait pu tenter le coup, mais que c’est avec moi qu’elle voulait le faire. J’en suis flattée. Je ne m’imaginais pas qu’autant de personnes puissent me trouver aussi désirable. Cela me fait fondre. J’ai envie d’un second round, mais elle m’abandonne hélas peu après. Je regrette de ne pas lui en avoir parlé, je ne veux pas en arriver à devoir me masturber, alors je m’habille de façon un peu aguichante et tourne autour de mon frère pour lui faire comprendre que je suis disponible. Cela ne rate pas ; à la première occasion, il me baise dans un recoin de la maison. Il me fait jouir en me remplissant de sperme et je suis enfin heureuse d’avoir ma délivrance. Une bite, il n’a quand-même que ça de vrai. Erika et moi refaisons cependant l’amour. Nous avons essayé de nouvelles choses, comme un soixante-neuf ou encore le tribadisme. À chaque fois, j’aime ça de plus en plus. Cela nous rapproche aussi énormément. Je deviens moins jalouse d’elle et nous devenons plus complice. Nous parlons de tout, et surtout de ce que les garçons nous font faire. C’est la première fois que j’en parle véritablement avec quelqu’un. Je me sens moins seule de pouvoir partager ça avec une fille qui peut comprendre ce que je vis. Elle a une façon si légère de parler de sexe que cela m’aide à me sentir moins coupable. Je regrette de l’avoir détester à une époque. Lorsqu’elle me parle de ses ébats, ...
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