L'amour d'un père (12)
Datte: 06/01/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... est faite sur mesure pour moi. Je ne m’en lasserais jamais, je la veux dans tous mes trous. — Salope ! s’écrit Sébastien. Il en peut manifestement plus rester passif et lui donne des coups de reins. Ils sont beaux tous les deux, je les envie presque. Alors je tire mon frère vers moi pour l’embrasser. Mon geste le surprend, je le maintiens par les cheveux pour ne pas qu’il m’échappe. Il me rend mon baiser avec fougue. Nous nous bouffons mutuellement la langue. Il plonge plus profondément en moi et se dirige vers mes seins. Il me lèche les tétons et les prend en bouche. Je frémis lorsqu’il les mordille. Je suis au paradis. — Putain, Lily, ce que tu es belle, ce que tu es bonne, je t’aime ! s’exclame-t-il. — Moi aussi ! — Je ne regrette pas du tout le jour où je t’ai sauté dessus la première fois. Je n’en pouvais plus, il fallait que je te baise ! De toutes les femmes, c’est toi que je voulais le plus ! Toi, ma grande sœur ! Mon fantasme honteux ! — AAah ! Lucas ! Fais-moi l’amour ! — Vous êtes mignon tous les deux, commente Erika qui nous écoutait. Je rougis de honte. Pendant un instant, j’avais presque oublié de nous n’étions pas seul. Je me sens idiote d’avoir dite des choses aussi intimes devant eux. — Lilly ! Je n’en peux plus, j’ai trop envie de t’enculer. — Moi aussi, j’ai envie qu’on m’encule, enchérit ma cousine. Nous changeons alors de position. Nos hommes nous font nous placer côte à côte à quatre patte par terre, les coudes sur le siège du divan. Ils nous embrassent ...
... et caressent nos fesses un instant avant d’introduire leurs sexes dans nos culs. Nous hurlons toutes les deux de plaisirs. Ils nous liment avec force en nous défonçant le conduit anal. La bouche ouverte pour crier et respirer, je suis perdue dans mon propre univers. — Tu es belle quand tu te fais baiser, me dit Erika médusée en me regardant. Elle se penche vers moi. Par reflexe, comprenant ce qu’elle veut, je fais de même pour l’embrasser. Cela ne laisse manifestement pas les garçons insensibles. — Regarde-moi ces salopes, s’exclame Sébastien. J’avais beau savoir qu’elles couchaient ensemble, ce n’est pas pareil que de le voir en vrai. — Putain ! Les salopes ! s’écrie Lucas. Cela les fait s’activer davantage dans nos culs. Mon corps remuent sous les coups, mais rien ne peut interrompre mon baiser avec ma cousine. Nos langues continuent de se chercher lorsque nous sommes séparées de quelques centimètres. Nous faisons tout pour qu’elles puissent au moins continuer de se toucher. J’ai faim d’elle, et cela me rend folle de voir qu’elle a faim de moi. Nos embrassades sont définitivement mises à terme lorsque Sébastien tire les cheveux d’Erika. On dirait qu’elle va en avoir un orgasme tellement elle crie de bonheur. ghrgeeiy Nous nous faisons sodomisées comme des chiennes par nos mâles et prenons un pied monstrueux. Nous sommes leurs femelles dociles, soumises à leurs bites, suppliantes d’être prises. Lucas prend appui sur mes hanches pour me monter comme un animal. Il m’emmanche ...