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Fantasme
Datte: 07/01/2018, Catégories: Masturbation
Cette nuit est moite. Terriblement moite. Et comme à chaque fois que c’est le cas, je tourne et retourne dans mon lit. La fenêtre de ma chambre est ouverte sur l’arrière cour et laisse entrer les bruits de la nuit. A cette heure où le matin se dessine dans la lueur nocturne, le halo de la lune presque pleine amplifie les cris des voitures et le son bien particulier de l’éther. J’entre en parfaite résonance avec le fil d’air frais qui se faufile dans ma chambre. Ma tête est confuse et mon corps vibre de l’intérieur. Cela fait deux semaines que je n’ai pas touché de femme et comme toujours dans ces cas là, je me touche avec obsession. Je teste mes limites et recherche l’épuisement, ce moment ou mon esprit et mon corps n’en pourront plus. J’y arrive parfois. Je commence même à discerner un cycle. Et j’expérimente différentes manières de me toucher, de m’exciter. Je joue avec mon self control. Je commence à entrevoir d’autres stimulations et je découvre encore mon anatomie.Bien que dans cet état d’esprit, je me lève et tente de lutter contre mon envie de me caresser. Je m’asseois à mon clavier, met le casque et commence à jouer une mélodie qui commence à s’inscrire dans mon cerveau. Peut-être un nouveau morceau…Rien à faire. Le sang afflue dans ma verge. Je retire le casque. L’écho de la cour renvoie les cris de jouissance d’une femme ainsi que les paroles de l’homme qui la prend sans rémission. Elles sont crues, elles sont fortes comme forte est la copulation qu’elles ...
... accompagnent. Monsieur lui fait subir les derniers outrages et Madame l’encourage, le provoque et se donne plus encore.Ils…Elle hurle. Toute l’arrière cour est réveillée maintenant. Cela se perçoit à la consistance du silence. Nous sommes tous des voyeurs. C’est beau. C’est a****l. Elle hurle de longs instants jusqu’à ce que Monsieur l’accompagne et que toute l’arrière cour sente son flot se déverser en elle. Nous la voyons tous se tendre pour prendre au plus profond d’elle même ce flot de semence qui signe sa victoire absolue sur le mâle qu’elle vient de vider de son essence. Pour s’en remplir.Le silence retombe mais chacun dans sa chambre, seul ou accompagnée, ne ressent qu’une chose. Des fenêtres se ferment, des couettes se défont. Et je m’empoigne à pleines mains. Je pense à vos seins. Je les regarde. Je les imagine dans ma bouche et ma langue sur vos tétons. Et je pense à votre cul. Rond, épanoui et j’envisage diverses possibilités. Je tire sur ma peau pour faire ressortir mon gland, le prépuce bien tiré à m’en faire légèrement mal. J’aime cette goutte claire qui perle sur le méat. J’envisage le bout votre langue qui viendrait la recueillir juste en m’effleurant, suspendue au bout de son fil. Je vous vois, Charlotte, l’enrouler au creux de votre langue et tirer doucement jusqu’à ce qu’il rompe. Rompu, il pend maintenant au bout de votre langue. Vous l’aspirez.J’aime ce regard dans vos yeux. Il dit clairement que je vais être votre jouet. Vous entrouvrez vos lèvres. Elles ...