Rose en Vrac
Datte: 07/01/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Honnêtement, lorsque j'ai eu l'idée d'une randonnée à travers bois pour rejoindre la cabane isolée, où j'avais l'intention de me payer du bon temps avec ma pute, je ne pensais pas en chier autant. Il fait froid et la progression n'est pais aisée dans ce sous bois touffu. Heureusement que j'ai un bon pull et un parka épais qui me protègent de la bise et des ronces épineuses. J'ai mis de bonnes chaussures de rando, bien utiles pour marcher sur ces sentiers défoncés et caillouteux. J'ai presque pitié de la conne qui se traîne derrière moi au bout de la laisse que je tiens en main. Il faut dire qu'elle est pieds nus et à poil. Pour tout "vêtements", des cordes lui lient les poignets dans le dos et maintiennent deux gros godes en place, bien enfoncés. Elles font le tour de la taille pour passer par son entrejambe. La laisse est fixée au gros anneau qu'elle a dans le nez comme une vache. A propos d'anneaux, elle en a aussi aux tétons et au clito. Pas les petits machins en or qui sont discrets et font penser à des bijoux intimes, mais de bons gros anneaux en acier. Pas de soucis, il y a la place. Elle en a bavé la salope pour arriver jusqu'ici, même si elle a l'habitude que je la traite comme une bête de somme. Le sac à dos que j'ai fixé sur ses épaules, deux heures plus tôt, doit peser dans les 15 kilos. Elle avance courbée, ce qui fait dodeliner ses mamelles pleines le lait. Je pense que je vais devoir la traire bientôt. Elle trainasse un peu trop, je lui redonne un peu d'entrain ...
... avec le bâton que j'ai ramassé. Je ne peux pas trop tirer sur la laisse, je risquerais de lui arracher le nez et de la défigurer. Je ne peux pas me permettre de trop l'esquinter, elle est trop mignonne et c'est mon gagne pain. Je regrette un instant de ne pas avoir fixé la laisse à ses nichons ou à sa mini bitte, puis je me dit que ça n'aurait rien changé aux risques de mutilation. La connasse s'est déjà cassé la gueule deux fois, en plein sur les nichons, au milieu des ronces et des orties. Je ne suis pas qu'un salaud, je lai aidée à se relevé après lui avoir permis de se désaltérer en lui pissant dans la bouche. Elle était tellement déshydratée, qu'elle en avait les larmes aux yeux de reconnaissance. Elle est griffée de partout avec des traces de piqures d'orties et d'épines. Sur sa peau pâle presque translucide, veinée de bleu, la chair de poule la rend super bandante. Je fais une halte brève, le temps de de la positionner à ma convenance sur une souche, pour décharger dans son cul. Même pour moi qui ai l'habitude, j'ai suis surpris que cette salope ait un orgasme. Je suis content pour elle. Une demi-heure plus tard, nous arrivons à destination. ----------------------------------------- Nous allons pouvoir nous détendre, un bon verre à la main. Enfin, je vais me détendre et me reposer un peu, tandis qu'elle ira dans la remise chercher du bois pour le feu, pendant qu'elle nettoiera et rangera la baraque, avant de faire à bouffer. Après, elle pourra se reposer et s'isoler un ...