1. Frederica ou la fessée sentimentale


    Datte: 07/01/2018, Catégories: fh, ff, ffh, fbi, fplusag, campagne, voyage, volupté, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme hdanus, fouetfesse, init,

    ... continue de m’embrasser. Je ne sais plus réellement où j’en suis. Tout mon corps est à la disposition de ces deux diablesses de femmes. Puis, tout à coup, je sens mon plaisir qui monte, je ne peux plus me retenir et tout mon liquide jaillit dans la main de Fabienne. — Vous voyez, Philippe, moi aussi je sais vous donner du plaisir. Notre douche se termine, nous nous essuyons à trois et nous nous rhabillons. La température est particulièrement agréable, il doit faire plus de vingt-cinq degrés. Mon esprit va enfin pouvoir se calmer. — Restez ici toutes les deux, je vais aller chercher de quoi manger et de quoi boire. Vous vous êtes tellement occupées de moi que je peux maintenant vous chouchouter un petit peu. Je retourne dans la cuisine avec les verres sales, je les lave, je prends un très grand plateau sur lequel je pose tout le nécessaire pour notre repas sans oublier une dernière bouteille de rosé. Le temps de nous installer, de remplir nos trois verres, de manger un brin et de discuter de tout et de rien, j’entends la voiture de Florence qui rentre dans le garage. Elle revient de son exposition de peinture. Elle est radieuse et toujours aussi belle. — Vous m’avez attendue ? Je réponds nonchalamment : — Oui et non. En été le temps passe si vite. Mais que cela ne nous empêche pas de prendre un dernier verre avec toi.— Elles étaient bonnes, mes salades ?— Délicieuses.— Qu’avez-vous fait pendant mon absence ?— Nous avons refait le monde, mais en prenant tout notre temps.— ...
    ... Vous avez bien raison. Vous voulez manger autre chose ?— Non merci, c’est parfait, dit Fabienne, Frederica et moi nous allons rentrer maintenant. Philippe, j’ai oublié de vous demander l’heure à laquelle vous quittiez votre travail.— À six heures tous les jours, sauf le vendredi où j’ai mon après-midi de libre.— Si vous êtes libre vendredi, venez chez moi, je vous montrerai ma nouvelle exposition en avant-première, et comme je vois que vous appréciez le rosé j’en mettrai une bouteille bien au frais.— Vas-y, me dit Florence, Fabienne est une artiste, sa peinture est magnifique et ses dessins pleins de sensualité. Tu vas aimer, elle dessine à la plume de très belles femmes nues, elles ne te laisseront pas insensible.— Allez-y, Philippe, renchérit Frederica, une artiste est toujours à fleur de peau et votre visite sera sûrement très attendue. Plus tard, je serai aussi heureuse de vous montrer ce que je fais : des tableaux avec des graines, toutes sortes de graine. Comme je pars en vacances avec mon mari dans quelques jours, ce ne sera pas avant la fin du mois. Dès mon retour, je passerai un coup de téléphone à Florence pour vous inviter. Et, conformément à la tradition, je mettrai une bouteille de vin au frais, du vin blanc du Rhin. Dans les pays du Nord, on fait aussi d’excellents vins. Fabienne et Frederica se lèvent et m’embrassent ainsi que Florence, avant de se diriger vers leur voiture. — Alors, Philippe, me dit Florence, comment trouves-tu mes amies ?— Très sympathiques.— ...