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Petite cochonne lors d'un stage en enreprise (1)
Datte: 07/01/2018, Catégories: Hétéro
J’ai toujours été passionné d’astrophysique. C’est pour cela qu’après ma terminale, je fis un stage dans un Observatoire à quelques kilomètres de chez moi. L’emploi du temps n’était pas trop chargé. On avait des présentations et activités le matin et l’après-midi, nous laissant deux heures pour manger. Le dernier jour du stage, je parlais avec une fille assez sympa. Pas forcément hyper jolie, mais le genre de fille hyper extravertie. Mon esprit se portant facilement sur les blagues de cul, et le sexe en général, le sien suivit la trame. Et nous commençâmes à discuter un peu de tout et de rien autour de la table, à rire sur tout et n’importe quoi, et surtout des blagues osées. Elle me parlait à un moment de la série « True Blood » quand elle me dit d’un rire amusé : — A un moment, dans les premiers épisodes, t’as une meuf dans une voiture elle branle son copain qui est à côté d’elle Je rétorque alors : — Et toi t’as déjà branlé un mec ? Je ne me suis pas rendu compte sur le coup de ce que je venais de dire. C’était une question pour rire de base, mais je ne cache pas que j’avais envie de savoir. Mais par chance, elle réagit bien : — Non jamais. — Tu aimerai essayer ? dis-je avec un sourire qui cachait bien mon idée perverse. En posant cette question, je voulais juste aller plus loin dans l’humour, et je ne pensais pas que cela irai aussi loin. Elle me répondit : — Oui pourquoi pas. Malgré l’apparence d’un blague, je savais que ces mots cachaient un certain sérieux dans sa ...
... réponse. La discussion s’arrêta la pour le moment. Quand nous sortîmes de la cantine, elle me dit avec un grand sourire jusqu’aux oreilles : — Alors on se met ou pour le faire ? — De quoi tu parles ? — Et bien tout à l’heure tu m’as demandé si je voulais essayer de branler un garçon. — Et donc ? — Bah je pensais que tu voulais qu’on le fasse. J’étais choqué. J’avais juste dis ça comme ça, pour rire, et la elle était carrément en train de me proposer une branlette. Je répondit en balbutiant : — Bah euh... je sais pas trop... — Oh aller ! Ne me dis pas que tu es complexé ! Dit-elle avec un rire limite moqueur. — Non ! je suis pas complexé donc euh oui bah je suis d’accord... si tu veux oui ». Elle avait l’air toute contente... et moi aussi. Le site de l’observatoire comprenait une forêt dont l’accès était privé aux employés, mais personne n’y allait. Par instinct nous nous dirigeâmes sur une des routes pour nous engouffrer dans les bois à l’abri des regards. Au bout de quelques dizaines de mètres, nous nous arrêtâmes. Elle se jeta sur mon jean pour le déboutonner puis le baissa un peu pour sortir mon sexe demi-mou. Elle me jeta un regard gourmand puis saisit fermement « l’animal » pour entamer des mouvements de vas-et-viens dessus. Le contacte de sa main douce et fraîche ne tarda pas à éveiller en moi une très forte excitation. Un sourire carnassier se dessina sur son visage quand mon sexe se raidit dans sa paume, dévoilant mes modestes dix-huit centimètres. — Ouaaaaah je pensais ...