1. LES JAMBES DE BELLE MAMAN (suite...1) forêt de la Hardt


    Datte: 07/01/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... c’est bon ! Surtout que Marilyne par des contractions de ses cuisses, serre et relâche ma main, comme si par ces mouvements, tel les anneaux d’un reptile elles voulaient entraînées au fond d’elles mes cinq doigts, excités par ce massage prodigué par la douce matière du collant qui commence à les rendre moites. A chaque compression, ma main répond par un mouvement d’arrière en avant, à chaque relâchement, mes doigts pianotent comme pour remercier de cette attention et pour montrer combien ils sont impatients d’aller plus loin. -C’est au prochain carrefour qu’on tourne à droite, Patrick ? -Euh… Oui, oui juste après. Rapidement, j’abandonne avec regret ma position et place à nouveau mes mains sur le dossier de belle maman qui reste dans sa position fœtale, feignant de dormir. -Maman, tu dors ? Tu n’es pas bien ? -Regarde la route, ne fais pas comme moi ce matin. Marilyne vous dormez ? Je secoue l’épaule de la comédienne qui joue parfaitement son rôle de dormeuse en feignant de se réveiller en sursaut, s’étire et baille... -Juste un petit coup de barre, j’étais bien, je commençais à rêver. -Voilà, je tourne là, c’est ça ? -Oui, et gare toi à peine plus loin à droite dans le petit chemin, tu sais à l’entrée d’une pâture. La voiture s’arrête maintenant sur le bord de la pâture, Adeline propose : -On passe par le petit bois ou on longe le chemin ? -Nous, par le chemin, lancent les jumeaux. - Moi, aussi, confirme leur mère. -Et vous Marilyne ? -Comme vous Patrick ; mais quand même ...
    ... avec une préférence pour le petit bois, j’ai envie de cueillir des anémones. -Et bien, Adeline et les jumeaux par le champ et nous deux par le petit bois. -Entendu, mais attention maman, toute seule avec Patrick….Dans un bois, au printemps… -Arrête de l’embêter, venez Patrick prenez moi le bras, j’ai peur de tomber. Les premiers arrivés à l’écluse attendent les autres ! Sur notre droite les silhouettes des garçons et de ma femme deviennent plus petites pour disparaitre derrière une petite butte. Maryline qui me tient toujours le bras, le serre plus fort, frotte sa jambe contre la mienne, alors que nous rentrons dans le sous-bois, notre marche devient plus lente, elle m’attire contre elle, se plaque contre un arbre, écarte les jambes et pousse mes épaules pour m’inviter à me baisser, je m’exécute, mon cœur bat de plus en plus vite, le temps s’arrête à nouveau, mes jambes se plient, mon nez arrive à la hauteur de la jupe, Marilyne la soulève et recouvre ma tête qui se trouve engloutie sous cet antre de plaisir, comme ça sent bon ! Nous ne disons pas un mot ; mes deux genoux sont à terre, mes joues se frottent sur le nylon de ces cuisses qui se resserrent pour retarder l’arrivée vers l’endroit chaud, cet endroit encore inconnu que je voudrais déjà respirer très fort ! Ma tête pousse vers le haut, je veux sentir la culotte de ma belle-mère à travers son collant, mes mains se cramponnent aux mollets, Marilyne saisit ma tête et à pleines mains la plaque enfin contre le haut de ses ...
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