1. LES JAMBES DE BELLE MAMAN (suite...1) forêt de la Hardt


    Datte: 07/01/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... je vous lançais des messages, je vous aiderai à vous en souvenir et vous n’aurez qu’une envie : rattraper le temps perdu. -Mince ! Comment n’ai-je pas été réceptif à ces signaux ? Donnez-moi au moins un, juste un s’il vous plaît Maryline….Allez juste un ! Tout en marchant l’un prêt de l’autre, je supplie ma belle-mère comme un enfant ferait un caprice pour savoir quel cadeau il aurait pour son anniversaire. Vraiment, depuis ce matin je suis un autre homme et belle maman une autre femme. Maryline reprend : -Pas parce que vous insistez, mais parce que quelque part ça me fait plaisir, je vous en décris un. Un an après le décès de Paul, nous étions tous chez moi pour mon anniversaire. Votre beau-frère et votre belle-sœur; pour une fois, avaient fait un effort pour se joindre à nous. Vous, Adeline et les enfants vous étiez installés dans le salon, Adeline s’écria…… -On sonne maman, c’est frérot et Emilie ! Je vais ouvrir. -Bien, on prend l’apéritif au salon, Patrick vous vous en occuper ? Venez cherchez les glaçons à la cuisine. J’avais mis une jupe assez courte remontée par mon tablier volontairement noué de façon à tendre le tissu vers le haut. J’attendais votre entrée dans la cuisine, au bon moment je plongeai la tête en avant vers le bac du congélateur en levant la jambe assez haut, je portais des collants noirs ; et feignant de glisser, je m’allongeai sur le côté en écartant bien les cuisses…. -Eh ! Maryline, attention, vous vous êtes fait mal ? -Non, non, ça va, mais ...
    ... aidez-moi à me relever Patrick s’il vous plaît. Toujours les jambes écartées, j’ai tendu ma main, vous l’avez prise et m’avez tiré vers vous. J’ai profité de cet élan pour coller ma poitrine tout contre vous. J’ai même poussé le bouchon avec mon autre main jusqu’à aller coincer le bas de ma jupe sous la ceinture de mon tablier ! -Oh…Attention votre jupe est relevée. Et, d’un geste prévenant, vous avez tiré dessus pour la remettre en place. -J’espère que vous n’avez pas vu ma culotte Patrick ? -Non, non…je vous assure… -Mais comment j’ai pu ne rien voire ? Ne rien tenter ? Quel imbécile ! Donc, c’était une provocation ? -Oui absolument, j’avais remarqué que les jambes des femmes ne vous laissaient pas indifférent ; à commencer par celles d’Emilie. Elle est souvent habillée court, croise les jambes…Et à plusieurs reprises, j’ai pu voir vos regards qui ne trompent pas. -Pour être franc, j’aimerais bien rejouer cette scène, j’aurai droit à un autre essai ? -Bien entendu Patrick, pas un mais des autres essais, nous rattraperons le temps perdu. Mais dans l’immédiat, pressons le pas, nous devrions être au barrage. -Maryline, ce soir je vous accompagne après avoir déposé Adeline et les jumeaux ; on se rejouera quelque chose ? -Peut-être ; j’ai été patiente quatre ans, vous pouvez patienter un peu non ? Je me tus. Jusqu’au barrage, nous avons discuté de choses et d’autres, comme deux personnes qui se rencontrent pour la première fois. En écoutant Maryline, je la regardais marcher, son ...
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