Quand un puceau rencontre une pucelle (3)
Datte: 08/01/2018,
Catégories:
Hétéro
Quand un puceau rencontre une pucelle. 3ème partie. Par derrière. Résumé : Josie et Marc ont viré leur cuti ensemble lors d’une soirée. Maintenant qu’ils ont enfin sauté le pas, ils veulent aller plus loin. Josie : Depuis ce jour mémorable pour nous deux, nous ne nous quittons plus, et dès que nous le pouvons, où que nous soyons, nous nous livrons à l’ivresse du plaisir des sens. Marc vient de me rejoindre dans mon petit studio et aussitôt la porte refermée, le feu qui couve en nous se rallume. Nous nous jetons sur les vêtements de l’autre et comme par magie nous retrouvons en tenue d’Eve et d’Adam. Marc m’embrasse à pleine bouche, nos langues, tels des serpents, s’entremêlent. Ma main, comme mue par sa propre volonté, s’insinue entre nos deux corps pour s’emparer de son sexe. Tout en se gamahuchant, j’entreprends un lent mouvement circulaire sentant ce serpent mou et chaud grossir dans ma paume. Je continue mon doux et lent massage, mon autre main empoigne les bourses de Marc qui se crispe sous ce nouvel assaut, appréciant les sensations que lui prodiguent mes caresses. Ma bouche glisse sur son corps qui frissonne pour se rapprocher de l’extrémité de son sexe, se pose sur le gland violacé que mes lèvres bécotent délicatement. Le bout de ma langue effleure la peau fine du gland qui donne l’impression qu’elle va céder sous la pression du sang qui la gonfle. De ma langue gourmande, je lèche le bourgeon violacé avant de m’attaquer à la totalité de la longueur de la colonne de ...
... chair. Ma langue descend, épousant chaque millimètre carré de cette chaude tige de bois dur qui palpite sous mes caresses. Je suis excitée par les contractions de sa hampe luisante de salive sous ma langue qui remonte au sommet du gland pour essayer de se glisser dans le méat entrouvert d’où s’échappe les prémices d’une éjaculation torrentielle. J’emplis ma bouche de son gourdin en l’enfonçant d’un coup jusqu’au fond de ma gorge. Je le sens prêt à exploser, à cracher tout son jus. Je descends jusqu’aux bourses, prenant à tour de rôle chaque couille dans la bouche, les suçant comme des bombons puis les recrachant pour revenir comme une folle sur sa grosse prune violette qui palpite sous mes caresses. Reprenant ma respiration, je lui susurre : -Mon amour, je vais te vider les couilles, te pomper à fond, donne-moi toute ta sève, envoie ta purée au fond de ma gorge, je veux avaler toute ta semence! Et j’engloutis de nouveau en une gorge profonde la verge prête à exploser comme un fruit mûr. Je sais qu’il a l’habitude d’éjaculer assez vite la première fois. Marc, à la limite du cataclysme imminent, me répond en gémissant. -Je vais jouir, je ne peux plus me retenir... J’essaie d’enserrer fortement la base de son membre pour bloquer la montée de la lave en fusion mais ça n’a d’effet que d’augmenter la pression. Il halète alors que son vit gonfle sous mes lèvres qui le pompent avec ardeur, il lâche des jets saccadés jusqu’au fond de ma gorge. Je presse sur les couilles avec mes doigts ...