1. Méli-Mélo, a contrario


    Datte: 08/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    Le lit de la chambre d'ami était haut avec une énorme couette façon édredon. La fille brune a voulu tout visiter. Faut dire, vrai, que c'était rare comme style de turne, campagne française profonde avec même le pot de chambre dans la table de nuit, derrière un simili double tiroir basculant et le crucifix avec brin de buis dessus le lit. Moi je m'étais glissé dans le pieu et je l'attendais. Elle, se baladait à poil dans la piaule en auscultant toutes choses. Quand je dis à poil, je ne galège pas. Vue la touffe impressionnante qu'elle trimbalait. Autant derrière que devant. Sur ses fesses, le velu remontait au coccyx noyant complètement la raie culière en foison frisée. Sur le devant, le manteau de fourrure, d'une hanche à l'autre, remontait à l'ombilic comme un tablier de sapeur épais et protecteur. Mais faut dire qu'elle avait repassé le tee-shirt blanc et que celui-ci cachait ses beaux nibars. Elle avait dit ce faisant, moi je dors en pyjama, ne vous déplaise... Tee-shirt gonflé à giorno avec deux tétons saillants qui déchiraient le devant. Moi je pensais, elle a mis le haut mais s'est abstenue pour le bas, bon augure. Probablement que la culotte n'était pas présentable... C'était une fille curieuse. Elle a ouvert la porte de la gigantesque armoire normande et regardait les piles de linge de maison rangé sur les étagères de chêne. Une odeur de lavande s'était répandue dans la chambre. Moi je fermais les yeux pour retrouver les images de chez mes grands parents. Elle a ...
    ... coupé la lumière à la poire du lampadaire et est venue se couler contre moi. Avec tee-shirt, vêture de son haut et toison épaisse, protection de son bas. Déjà on entendait le raffut dans la chambre à côté. Exploratrice, elle a décoiffé mon machin, descendant les peaux bas sur la tige, tirant sur le frein. Elle avait mouillé son pouce de salive et est passée dessus le gland en caresse humide. Elle a dit, en amour rien n'est sale, laisse-toi faire. Moi j'étais peinard sur le dos, bien dans ma peau, bien dans ses bras méditerranéens. On entendait tout près les bruits de la chambre voisine. Sa main était sur mes couilles et elle m’a glissé à l’oreille, va, oublie, elle est comme ça, elle aime les garçons, tous les garçons. T’as eu ta nuit, te faut maintenant passer la main. Enfin, si l’on peut dire… Izïa était une fille curieuse, animée du désir d'exploration. Sa main descendait entre mes cuisses et moi j’avais relevé les jambes, mes genoux bloqués contre ses deux seins, ses beaux seins. J’étais comme foetus au ventre de sa maman, bassin en avant, une main chaleureuse empaumant mes roupes, abandonné à ma torpeur. J’avais de mes deux bras enserré son buste et nous avions parfaite posture pour nous endormir du sommeil du Juste. D’autant que son grand doigt, posé nonchalemment sur ma rondelle, s’apprêtait à visite, charnu incursif à mon intimité suintante. C’est en sympathie des activités lubriques de la pièce à côté qu’elle a, subrepticement, enfilé sa première phalange. Comme qui ...
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