Claire est bien accueillie
Datte: 08/01/2018,
Catégories:
ffh,
Collègues / Travail
pénétratio,
amiamour,
couple+f,
... cours très bien faits. J’attendais avec impatience la prochaine série, mais elle ne vint pas, l’ambiance était plus à la danse qu’à la drague. Quelques anciens étaient là, les valses, tangos, rocks, pasos se succédaient. Marie et Claire dansaient parfois ensemble, j’imaginais leurs corps se frôler, s’épouser. Quand j’invitais Claire, j’aimais son abandon, sa taille fine, ses seins fermes, son pubis un peu saillant qui, parfois, touchait ma cuisse. Ma main descendait sur ses reins et sur cet endroit magique où les fesses commencent. Loin de s’écarter, Claire semblait venir vers moi. Dans un endroit un peu sombre de la piste je la sentis m’embrasser sur le cou. Un peu surpris je la serrai contre moi, elle me donna un nouveau baiser, puis s’écarta et me sourit. Vers 5 heures l’ambiance tombât. Le retour fut calme, dans la voiture j’étais seul à ne pas dormir. À l’appartement Marie fit couler un bain dans lequel elle se glissa avec Claire. La porte était ouverte, deux têtes émergeaient de la mousse. Je pris l’éponge et me mis à frotter les épaules et le dos de Marie, puis ses bras et ses seins. — Claire, veux-tu que je te lave aussi ? Pour toute réponse Claire sourit, s’avança un peu. Je passais l’éponge sur ses épaules, son dos, ses bras. La mousse qui se dissipait me laisser apercevoir ses seins, son ventre, la tache sombre de son pubis. Je descendis l’éponge sur les seins, les lavai lentement. Puis, ne sachant que faire, je me retirai. Quelques minutes après, Marie et Claire ...
... sortirent, je me glissai dans le bain. Je ne savais plus très bien où j’en étais. Quand je sortis, je retrouvai Marie dans notre lit, elle dormait déjà. Le lendemain je me levai sans bruit, descendis acheter du pain frais, des croissants. Je préparai le petit déjeuner : thé, café, céréales, œufs. Je mis France Musique. Claire arriva, une chemise de nuit courte pour seul vêtement. Elle vint m’embrasser et resta un instant dans mes bras me disant : — Je suis bien avec vous.— Nous sommes heureux que tu sois là. J’avais gardé ma main sur sa hanche. Elle me sourit. Je tendis mes lèvres vers les siennes, elle y posa un petit baiser. Nous commençâmes le petit déjeuner. Marie arriva peu après, elle m’embrassa, vint embrasser Claire qui lui tendit ses lèvres. Elles s’embrassèrent sur les lèvres. — Mais qu’est-ce que tu me fais faire ? dit Marie, surprise. Claire répondit par un éclat de rire. Un peu plus tard, Claire rapportait du pain toasté. Quand elle passa près de Marie, mon épouse lui prit la taille. Claire lui prit le menton, releva le visage, descendit ses lèvres. Ce second baiser fut plus long. Mon épouse m’adressa un regard surpris puis, ses yeux prirent l’expression qu’elle avait quand le désir la prenait. Je lui fis un clin d’œil complice. Nous avons fini le repas en riant de tout, surpris et ravis de l’étrange complicité érotique qui se glissait entre nous. Marie proposa une promenade à la mer. Après un pareil petit déjeuner on pouvait tenir jusqu’au soir. Le temps était ...