Défloration du croupion d’une mature - Renaissance 03
Datte: 08/01/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... est devant lui, laissant ses mains vagabonder entre les cuisses qui s'entrouvrent naturellement à ses attouchements. Il sent le vagin suinter déjà d'une mouille abondante. Ne perdant pas de temps, il présente sa queue devenue rigide au pertuis qui se dilate aussitôt, s'enfonçant d'un seul coup le plus loin possible, presque jusqu'à l’utérus, en la prenant en levrette, une des positions qu'il adore. Victoria ne s'est pas encore réveillée, mais son corps ondule, sous les coups de boutoir que lui imprime l'homme qui la défonce. Celui-ci, agrippant ses seins, plaque ses mains sur les mamelons tout en pinçant les pointes entre ses doigts, puis il serre fortement les bouts durcis. Victoria qui a repris maintenant conscience, rugit de douleur car ses seins sont triturés atrocement, mais elle geint également du plaisir qu'elle ressent par la verge de son amant qu'elle sent jusqu'au plus profond de son vagin. La chevauchée est intense, les deux corps, intimement soudés l'un à l'autre, vibrent dans une véritable symbiose charnelle. La croupe de la quinquagénaire se projette au-devant des coups de verge qui la pilonnent sans cesse, jusqu'à ce que Romain explose en elle tout en lui mordant cruellement la nuque, comme le font les étalons avec les juments. Après quelques instants de récupération, Victoria se dégage de la tige qui se retire lentement de sa chatte enflammée, se retourne amoureusement vers Romain, puis se frottant contre son torse, elle ne peut s'empêcher de lui faire ...
... quelques reproches. - Pourquoi ne pas m'avoir réveillée, vous m'avez fait très mal Romain, mais je ne comprends pas très bien ce qui m'arrive, car en même temps, j'ai joui divinement. Hier vous m'avez fustigé les fesses, vous me faisiez souffrir et dans le même moment j'avais du plaisir par votre sexe qui s'agitait en moi. Ce matin mes seins et ma nuque sont douloureux, car vous m'avez torturé cruellement, mais aussi quel bonheur de vous sentir en moi. Oh ! Qu'allez vous faire de moi mon chéri ! Vous êtes brutal et si aimant. Jamais, on ne m'avait traitée de la sorte, je vais devenir votre esclave. C'est ce que vous voulez n'est ce pas ? Cela m'est égal, battez-moi si vous le voulez, mais aimez-moi aussi, je vous en supplie ! - Victoria, la douleur et le plaisir c'est presque la même chose. Je ne veux pas que vous acceptiez cette souffrance que je vous inflige si vous n'en retirez pas du bonheur également. Je vais vous faire encore souffrir si je reste avec vous, aussi il vaut peut-être mieux que nous n'allions pas plus loin. Victoria est affolée, elle ne veut pas que l'amant qui vient de la révéler la quitte. Elle vient de découvrir une jouissance physique qu'elle n'a jamais connue durant toute sa vie maritale, bien pauvre, sexuellement parlant. Oh ! Bien sûr, elle vient de subir des douleurs atroces alors que son amant lui promet de lui faire encore du mal, mais, dans son subconscient, elle soupçonne qu'elle en éprouve un besoin aussi méprisable qu'inavouable. Curieuse, et tout de ...