Ancestor, épisode 2/6
Datte: 09/01/2018,
Catégories:
ff,
grp,
Collègues / Travail
fsoumise,
fdomine,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
jeu,
... chemises ouvertes et nos petites culottes. — Je prends Cynthia, ça te va ? demanda Fassin.— Pas de problème, dit Madan, Semona me fait tout aussi envie. Je prendrai Cynthia au deuxième tour. Fassin me regarda, un brasier ardent dans les yeux. Il laissa son pantalon et son caleçon tomber au sol, découvrant un sexe dressé au milieu d’une épaisse touffe noire. Cette vision me fit un effet étrange, m’inspirant à la fois la crainte et le respect. Il se débarrassa du reste de ses vêtements et s’approcha de moi. De son côté, Madan, après avoir surélevé le bassin de Semona grâce à un coussin et passé ses jambes par-dessus ses propres épaules, jouait à lui lécher l’intérieur cuisses. Fassin trouva l’idée bonne et plaça lui aussi un coussin sous mes fesses, tout en retirant habilement ma petite culotte. Fassin ne me dégusta pas : il me dévora toute crue, de la même façon qu’un homme assoiffé pourrait mordre dans un quartier de pastèque bien juteux. J’étais à sa merci et il ne se gênait pas de me saisir fermement, de me sucer avidement là où cela lui faisait envie, et de me pénétrer par coups profonds et déterminés. Comme Semona me ...
... l’avait recommandé, je me laissai faire et me concentrai sur les sensations multiples qu’un tel traitement imposait à mon corps. Lorsque le rythme s’accéléra, je me surpris moi-même à pousser de petits cris ; je ne sais plus très bien en vérité ce que je fis exactement, je devais être presque en transe. Un moment dont je me souviens, c’est lorsque quelqu’un m’essuya l’entrejambe avec une petite serviette ; et juste après cela, Omanetter était devant moi, son énorme sexe prêt à l’action. Je replongeai vite dans un état d’abandon total de mes sens ; je crois que j’atteignis le paroxysme de l’extase peu de temps après, mais mon état dura encore tant qu’il restait des hommes à même de me pénétrer. La deuxième fois qu’un homme fait l’amour, il prend vraiment son temps, et ils étaient quatre, alors… Ce soir-là, je rentrai chez moi tout emplie des odeurs, de l’ivresse et de la semence de ces hommes que je ne pouvais qualifier autrement que de merveilleux. Je tâchai de cacher tant bien que mal ma béatitude à mon mari. Je me prélassai longuement dans un bain chaud, et me couchai tôt, douillettement emmitouflée sous les couettes.