Le voisin bricoleur a des mains en or et un sacré outil. 2/5
Datte: 09/01/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... à la base. Paul, qui me connaît bien, réagit assez vite à mon attente et sa verge enfle entre mes doigts, le gland émerge de ma main quand il atteint la pleine érection. Marc, un peu désorienté par la présence de Paul, arrive à peine à bander. Son tuyau a gonflé mais est toujours mou. Malgré ça, son chibre fait déjà cinq centimètres de plus que celui de Paul. La différence est bien visible quand je regarde ce qui dépasse de ma main gauche et ce qui dépasse de ma main droite. A force de lui décrire dans mon histoire de belles filles au corps de déesses et de branler avec une infinie douceur son vit, l’épi croit avec lenteur pour atteindre sa pleine beauté. Le contraste est saisissant entre la verge de Paul guère plus grosse qu’un pied de chaise et celle de Marc. Un vrai concombre !!! La différence de taille entre ces deux sexes est pratiquement de dix centimètres ! Je laisse reposer sur leur ventre leur pine, celle de Paul arrive à la moitié de la distance entre sa base et son nombril alors que pour celle de Marc, le gland le dépasse en entier ! Je voudrais bien aller encore plus loin mais je ne veux quand même pas indisposer Paul à ce point. Je l’aime trop pour lui faire un tel affront. J'attends ses réactions pour voir si, plus tard, je peux pousser plus loin. Je suis triste de devoir arrêter là mon fantasme. Mais ce n’est que partie remise. Il faut que je me débrouille pour pousser Marc dans ses retranchements. La journée se termine de façon agréable et sympathique et Marc ...
... repart chez lui. Quelques jours plus tard, alors que je suis seule et en petite tenue, en nuisette courte sans sous-vêtements, j’attends Marc pour de menus travaux. Ça vient de plus en plus dur de trouver des prétextes à sa venue. Mais que fait-il ? Il ne vient toujours pas ! Je suis si excitée que je me touche en pensant à lui. Je sais pourtant qu’il est chez lui car sa voiture est là. Déçue, je vaque à mes occupations, prépare mon déjeuner et fais une bonne tarte aussi. A 14 heures je n’y tiens plus. Sachant que mon homme ne rentrera pas avant 18h, je me change et me dirige vers sa maison. J'ai mis des escarpins, une robe d'été à bretelles fines, décolletée. On remarque que je ne porte pas de soutien-gorge car mes tétons pointent sous le tissu fin et mes seins ballottent quand je marche. Je sonne à sa porte ayant en main une superbe tarte aux pommes faîte avec amour pour lui ce matin. Il m’ouvre enfin. Il a sa tenue habituelle, un Marcel et ce ridicule jean coupé qui me fait tant fantasmer. -Entre Béatrice ! Excuse-moi pour ce matin mais j’avais d’importants coups de téléphone à passer et je n’ai pas pu venir. Mais tu sais, tu n’étais pas obligé de m’amener cette tarte. Je n’y tiens plus et lui rétorque aussitôt : -Ce n’est pas cette tarte que je veux que tu dévores, c’est moi ! Je ne partirai pas de chez toi avant que tu ne m’aie sautée ! -Ah enfin ! Me lance-t-il. Tu en as mis le temps avant d’y venir. Je t’ai bien fait lambiner avant que tu ne te décides. Mais c’est moi ...