1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1226)


    Datte: 10/01/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... de feu d'artifice éclata en moi, emplissant la pièce d'un hurlement, qui couva même le bruit de l'éclatement des lanières sur mes fesses. En transe totale, tremblante, je sombrais dans l'extase, tête renversée, yeux révulsés, bouche grande ouverte sur mes plaintes mourantes. Je n'en revenais pas moi-même ... Je jouissais littéralement de douleurs... Mes cris de jouissance se mélangeaient, se confondaient avec ceux de douleurs … Mon esprit ne captait plus que les orgasmiques décharges électriques provoquées par chaque nouveau coup de fouet. Ces décharges irradiaient tout mon corps, j'étais haletante, toute tremblante et transpirante, les cuisses maculées de cyprine… La sueur me dégoulinait entre les seins, le long de la colonne vertébrale et entre les fesses, pour venir se mêler à cette autre sudation, tout aussi abondante et coulante de mon vagin et me trempait une fois encore l'intérieur des cuisses. Il m'accorda un petit moment de pause, afin de me laisser reprendre ma respiration, mon souffle qui s’était affolé à ce fulgurant orgasme que je qualifierai d’explosif et inédit pour moi. Le temps pour lui d'encercler mes chevilles avec de nouveaux bracelets, y glissant entre-elles, pour bien les séparer, une solide barre au métal ciselé, comme jadis on en fabriquait, et ainsi me contraignant de sorte à garder les jambes largement écartées. Hissant le palan, m'obligeant, pour ne pas accroître la tension de mes bras à me tenir sur la pointe des pieds. Dans cette posture de ...
    ... crucifixion, pénible, qui m'ouvrait et me livrait, m’exhibait plus encore aux yeux du Marquis, qui s’en délectait, je fus bientôt dans l'impossibilité de retenir de nouvelles plaintes et gémissements quand il m'offrit de redécouvrir les caresses et les effets claquants et secs du petite bout de la languette de cuir d'une de ses cravaches, qui vint cette fois me frapper les fesses, mais également le dessus, le dessous et les cotées de mes seins, mes aisselles, mon ventre, mes hanches, mes cuisses, mon sexe... marquant à chaque fois d'une sensation brûlante ma peau blanche de rectangles rose-rouge. Une tapette double remplaça aussitôt la cravache, m'échauffant et colorant ma peau plus intensément, suivis en retour d'un de ses martinets dont les lanières se relancèrent douloureusement sur ma croupe déjà tant meurtrie, mais également mon dos, mes seins, mon ventre et encore mon sexe, me faisant crier et hurler, en me tordant dans tous les sens, en proie à une souffrance atroce mélangée d’une extase surprenante d’excitations. Je ne me savais absolument pas du tout masochiste, avant ce jour, je me découvris ainsi et vivais donc pleinement les plaisirs incroyables que la douleur et l’excitation engendrée par celle-ci, procure. Je n’en reviens toujours pas d’être cette maso insoupçonnée que je suis devenue ou que j’étais depuis si longtemps sans le savoir … Et oui, c'est peut-être dur à croire ! Mais malgré les heurts, malgré la douleur couvrant sur ma peau, je me sentais bien. Je me ...