Les aventures sexuelles débridées de Patrick. Emilie, sa future femme. (2)
Datte: 10/01/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... se tendent vers le pal perforateur propulsé par des coups de reins puissants. - Aaaaaaah !!! Nooon mooon Dieuuuuu! Tu me casses le cul!!! -Je vais te pilonner! Je vais te remplir le cul de mon foutre !!! Il s’active rageusement dans mon fondement, sa bite entre et ressort a grande vitesse. Je gémis de bonheur au rythme de ses coups de bélier, hurle mon plaisir. Il halète bruyamment sous l’effort. Annie est passée sous moi et lèche à coups de langue vigoureux ma chatte. Ses doigts rejoignent sa langue dans ma grotte offerte pendant que son autre main pétrit les bourses prêtes à une nouvelle décharge. J’ai le corps cambré par la jouissance et hurle à pleins poumons mon plaisir qui provoque des contractions de mon anus. L’effet est immédiat sur Patrick. — Emilie, tu me fais jouir, mon amour ! — Oui, remplis mon cul de ta semence, graisse-moi les boyaux ! Il grogne accompagnant en borborygmes les puissantes giclées de sa semence qui s’accumulent dans mes intestins. Je suis si fébrile que je me laisse tomber vers l’avant éjectant de mon petit trou sa lance tarie. Je ne peux empêcher les contractions de mon sphincter dilaté qui expulse le trop plein de son foutre par saccades. Il me réconforte et me félicite : -Eh bien tu es douée, tu n’as pas grand-chose à envier à Annie ! — Merci, je redoutais de vivre ce jour mais ta sœur m’y a si bien préparé que tout m’a paru si naturel. Tu m’as complètement libérée de mon complexe de culpabilité ! Comment ai-je pu être si bête et perdre tant ...
... de temps ? Mais je crois qu’une douche sera la bienvenue! — Moi aussi, renchéri Patrick, je suis en sueur, mais tu as l’air si exténuée que je vais te servir de porteur ! Mon cul le nargue, et l’invitation est très claire. Il me relève, quand je me retourne, je suis surprise de voir que sa verge n’a pas baissé d’un cm. Languissante, je le vois approcher, il se positionne derrière moi et je sens le contact de son gland entre mes fesses. Il frotte le bout de sa bite contre la raie de mes fesses, je réponds par un léger frémissement du bassin, signalant mon impatience. Finalement, il me pénètre et sans grand effort, me pourfend à nouveau de sa dague, il glisse ses mains sous me cuisses et me soulève comme une plume. Je serre mes mains sur ses bras et il marche ainsi vers la salle de bain. Chacun de ses pas transmet un choc dans la colonne de chair qui se répercute comme une secousse tellurique dans mes intestins, je suis bien emboitée autour de cet axe qui ne rend toujours pas les armes. Je m’extasie à chaque pas : — Quelle sensation ! Ca me fait penser à la monte à cru sur un cheval où ton corps retombe sans arrêt sur son dos. Tu me baises à chaque pas que tu fais! Oh mon Dieu, que j’aime ca ! On dirait qu’il m’embroche chaque fois un peu plus comme si c’était possible et je n’arrête plus de gémir. — Je suis devenue ton esclave lubrique, je ne pourrai plus me passer de ta formidable verge infatigable que je sens à l’intérieur de moi enfouie au plus profond de mon cul. lnzlkkjh ...