1. Mon membre et chair


    Datte: 10/01/2018, Catégories: hh, jeunes, Collègues / Travail ascenseur, caférestau, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, intermast, Oral préservati, hdanus, hsodo,

    ... dégager. Il faut absolument que je trouve un moyen de l’emmener chez moi. Il me plaît énormément, il a un je ne sais quoi qui me titille en moi. C’est au fil de la conversation que je trouve le moyen de faire venir Nicolas chez moi, pour boire un dernier verre et faire plus ample connaissance dans un cadre plus intime. — Si tu veux, Nicolas j’ai un CD d’acoustique piraté de ce groupe et sûrement d’autres trucs qui peuvent t’intéresser. Si tu veux, après le bar on passe chez moi et j’te montre mes piles qui s’entassent chez moi !— Ah oui ! Très intéressé. Avec ton job, tu dois en avoir des exclus sympas. On y va quand tu veux, je sacrifie mon prochain verre pour toi ! Il termine sa phrase et fait mine de se lever. Pour « toi », à l’instant même où il prononce ce mot, mon cœur s’emballe. D’autant qu’il me regarde encore droit dans les yeux, j’ai l’impression d’entendre résonner dans ma tête ses derniers mots, « pour toi », « pour toi »… Nicolas se fige un instant, voyant que je reste collé sur le tabouret du bar. Il incline sa tête, il me fait une moue à la Hugh Grant, irrésistible, je quitte mon tabouret et enfile ma veste. Direction mon appartement, j’ai réussi, tout se passe à merveille… Pour aller chez moi, nous prenons chacun notre voiture et il me suit pour la route. J’avoue avoir du mal à me concentrer sur le chemin. Dès que j’en ai l’occasion, je regarde dans le rétro pour voir la silhouette de Nicolas juste derrière moi, assis dans sa voiture. Je ne cesse de le ...
    ... regarder et j’ai l’impression qu’il fait de même, nos regards se croisent par rétros interposés. Heureusement que nous arrivons vite chez moi, car il m’est de plus en plus difficile de conduire correctement. Chacun trouve une place pour se garer et l’on se retrouve au pied de chez moi devant le digicode. Lorsque je tape le code d’entrée, je sens la présence de Nicolas, bien plus proche que de raison, j’en suis persuadé. Son souffle se loge sur ma nuque. Je suis tellement troublé que je me trompe une première fois pour taper mon code. Tant mieux, cela me permet de profiter encore un petit peu de ce moment, de sa présence. Nous entrons. Béni soit l’ascenseur ! Un espace clos, où l’on est serré sans pouvoir éviter le regard de l’autre. Et nos yeux se croisent à de multiples reprises. D’abord furtivement, puis de plus en plus appuyés. Le silence est pesant, les sous-entendus que nous échangeons encore plus. Clang ! Le temps des soupirs est fini, l’ascenseur s’est arrêté et nous voici devant la porte de mon appartement. Nous entrons doucement dans le couloir. Je me retourne pour appuyer sur l’interrupteur et faire jaillir la lumière. Je suis face à face avec Nicolas, ma main est tendue pour appuyer sur le bouton. Nous nous observons sans trop oser respirer. Soudain, Nicolas appose sa main sur la mienne au moment même où j’allais allumer. Il serre ma main de manière virile et ferme, mais sans aucune douleur. Puis il me dit d’une voix calme et contrôlée, pleine d’assurance. — On n’a pas ...
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