1. Hallucination - Billevesée et Gaudriole !


    Datte: 10/01/2018, Catégories: fh, fffh, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme historique,

    ... l’Andlau, puis à notre retour vous me donnerez ma première leçon, poursuivit-elle. Mademoiselle Käthe me prit le bras et sans attendre mon consentement m’entraîna à sa suite sous les ombrages des grands saules qui courbaient leurs branches au-dessus d’un étroit sentier longeant les eaux et offraient un peu de douce fraîcheur en cette journée caniculaire. Nous progressions lentement car à chaque pas elle s’arrêtait pour m’introduire aux mystères de la botanique qui depuis longtemps la captivait. Je lui proposai d’herboriser, mais elle se moqua en déclarant : — En voilà une idée, ne savez-vous point que les herbes se recueillent au point du jour alors que, comme moi, elles concentrent encore leurs principes actifs et non au midi quand la chaleur en a dissipé la vitalité, les a déjà épuisées et fanées. Je doutai un instant du double sens de ses propos dont le « comme moi » pourtant soulignait le second degré. L’Andlau décrivait un long méandre au cœur de la vaste propriété familiale. Juste avant l’un de ses coudes, nous entendîmes des bruits d’aspersion et d’éclaboussures. — Ce doit être des chevreuils qui sont venus s’abreuver et se rafraîchir, me chuchota Käthe. Ne faisons pas de bruit et approchons-nous. Quelle ne fut pas notre surprise en découvrant une femme toute nue, ayant retiré jusqu’à sa chemise qui s’ébattait dans une petite crique fermée aux regards par un rideau de saules et de taillis. Une branche morte craquant sous mon pas, celle-ci se retourna et nous nous ...
    ... reconnûmes. Madame Elfriede, car c’était elle, sans la moindre gêne, nous interpella : — Par cette chaleur, l’eau est un vrai délice, ne soyez pas aussi effarouchés, venez me rejoindre. En attendant, ce fut elle qui vint vers nous, belle naïade échevelée et dégoulinante de mille perles d’eau qui tantôt la moiraient de sombre argent, tantôt scintillaient d’éclairs aveuglants, l’enveloppant d’un ciel d’étoiles rutilantes et changeantes au gré des rayons de soleil filtrant au travers l’épaisse frondaison. J’eus beaucoup de mal à ne pas étreindre ma superbe maîtresse, mais la présence de Käthe m’obligea à plus de retenue. Celle-ci se tourna vers moi et s’exclama : — Oh oui, allons-y. Ne restez pas plantés ainsi, et veuillez m’aider à me déshabiller. Avec l’aide de sa mère, je défis sa robe et bientôt elle ne fut plus vêtue que de sa simple chemise qui lui tombait jusqu’à mi-mollet. — Allez, c’est à votre tour, lança-t-elle, mais rassurez-vous, nous vous autoriserons à conserver votre chapeau ! Les deux femmes se précipitèrent sur moi et quelques secondes plus tard, je me retrouvais nu comme un ver tentant de dissimuler ma virilité fort émoustillée avec ma coiffe. — Non, le chapeau, chez les hommes, de nos jours se porte sur la tête, s’égaya-t-elle en m’arrachant ce dernier rempart de mes pudeurs et le réajustant sur mon crâne. Me prenant chacune par un bras et force éclats de rire, elles me tirèrent dans l’eau et s’y jetèrent, m’y entraînant à leur suite. La chaleur ambiante, ...
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