1. Un weekend bien chargé à décharger... (1)


    Datte: 10/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... jasjrrtc J’ai pris place à la table sur une vieille chaise en bois car mon dos ne supportait pas un fauteuil trop mou. Ce n’était pas le cas d’Aanja qui s’était affalée dans le vieux canapé en velours. Elle était à moitié couchée et avait ramené ses jambes contre le fauteuil. Assis dans l’angle en face d’elle, je ne perdais rien du spectacle qui s’offre à moi...! Elle devait faire des économies sur les sous-vets car l’entrejambe de son short était remonté bien haut, quasi entre les lèvres de sa chatte. Je la zieutais avec plaisir quoique j’y voyais un peu trop de poils pour mon goût. Je n’aime pas les poils, surtout dans la bouche ou entre les dents... J’ai fait mine de plonger mon nez dans mon verre de vin, mais je matais un bon coup. Elle a semblé remarquer mon petit manège et, les yeux fixés sur moi, elle a tiré un peu sur le tissu mais, volontairement ou non, pas trop. Je ne savais pas si je devais y voir un message ou juste une petite provoc, mais en attendant ma bite avait pris ses aises dans mon bermuda qui ne cachait pas grand-chose. J’ai donc choisi ce moment pour demander à Belina l’autorisation de prendre une douche afin d’être un peu plus présentable. Permission qu’elle m’accorda avec un large sourire, suggérant même que je n’oublie ...
    ... aucune partie de mon corps. Une fois dans la salle de bain, j’ai rapidement enlevé mes vêtements. Comme notre amie hollandaise, je faisais souvent l’impasse sur les sous-vêtements. En fait, je passais la majeure partie de mon temps à la maison à poil. Ma queue en a profité pour pointer vers le plafond. Je me rase très régulièrement, il n’y a pas un paquet de poils pour cacher mon trois-pièces. J’ai pris le pommeau de douche et ouvert l’eau, et je me suis penché pour ajuster la température quand j’ai entendu la porte s’ouvrir derrière moi. J’ai tourné la tête, m’attendant à voir mon ex-belle-sœur me tendre une serviette, et j’ai été surpris de trouver cette coquine d’Aanja. Elle avait déjà commencé à ôter ses deux "vêtements" pour se retrouver à poil devant moi. "Poils" était d’ailleurs le mot, car son entrejambe n’avait pas dû voir une tondeuse depuis quelque temps. Elle a croisé mon regard et m’a lancé "Je sais ! J’ai vu ta petite grimace tout à l’heure. Tu n’aimes pas les cons poilus...". J’ai tenté de répondre quelque chose mais elle ne m’en a pas laissé le temps. Elle a pris un jetable sur la tablette du lavabo et m’a lancé, les yeux fixés sur ma queue : "je pense que tu es bien placé pour t’en occuper". Et elle est rentrée dans la baignoire... 
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