1. L'inconnu de la station


    Datte: 03/01/2022, Catégories: Hétéro Vos histoires

    ... serai dommage…
    Je sens le rouge envahir les joues. Le slow suivant s’annonce plus chaud. Luigi devient plus entreprenant, mais ne m’inquiète pas, me rappelant qu’il n’insistait pas, si sa partenaire était réticente. Le problème, c’est sa partenaire qui ne l’était pas. Je ne le repoussais même pas, quand ses lèvres frôlaient les miennes. Puis le baiser se fit plus profond. Je sentais ses mains remonter dans mon dos, à même la peau. Un frisson parcourait mon corps. Je pensais à mon mari, voulais quitter la salle. Mais la virilité de ce jeune homme me retenait collé à lui, irrésistiblement. C’est en me tenant par la taille, qu’il me ramena à la table, sous le regard coquin de Claire. Il s’assit près de moi, sur la banquette. Il passa son bras autour de mon cou, m’attira à lui, et prit mes lèvres. J’étais carrément hypnotisé par cet homme, au point de laisser sa main remonter sous mon pull, caresser mes seins. J’étais pendu à son cou, pendant ce baiser interminable. J’étais partie, ou, j’en savais rien. Ce que je savais, c’est que j’allais tromper mon mari. Sa main, passée autour de mon cou, il saisit mon autre main. Sa main libre se posa sur mon genoux, remonta lentement à l’intérieur de mes cuisses. Le plaisir s’emparait de moi alors que ma tête me disait de tout arrêter
    « Mon dieu Ambre, que vas-tu faire ».
    Faire ? C’était simple, j’allais tout simplement écarter mes jambes, pour laisser l’accès libre à mon intimité. Je fermais les yeux, quand un doigt écarta ma culotte, et ...
    ... couru le long de ma fente. 
    - Pas ici, lui dis-je.
    En jaugeant le taux d’humidité, Luigi avait compris qu’il allait passer la nuit avec moi. Ce fut sa première proposition, après ce slow fatidique, ou je succombais définitivement.
    - Veux-tu que nous allions dans ta chambre ?
    - Oui...je le veux dis-je les yeux mouillés...numéro neuf. Laisses-moi monter en premier.
    Luigi, impatient, prit une bouteille de champagne, et deux coupes, et me rejoignit devant l’ascenseur. Nous avons monté les quatre étages, les lèvres soudées, nos langues nouées. 
    En arrivant dans la chambre, j’avais une boule au ventre. J’avais conscience que j’allais tromper mon mari, avec un jeune homme, qui pourrait être mon fils. Une fois dans la chambre, il m’a plaquée sur le couvre lit, m’a enlacée. Nous nous sommes déshabillés en un éclair. Ses mains, d’une incroyable douceur, parcouraient mes parties intimes, comme pour les apaiser, avant la tempête qui s’annonçait. La nuit s’annonçait torride, loin de mes relations que je pouvais avoir avec mon mari. Faut dire aussi que, tout nouveau, tout beau. Je réalisais que c’était la première fois que d’autres mains, que celles de mon mari, parcouraient mon corps...et cela m’excitait, alors que ma tête me criait d’arrêter.
    Je me disais que, si cette nuit n’était pas réussi, ça ne pouvais venir que de moi. Allais-je assurer devant la fougue virile de ce jeune homme. Jusqu’où étais-je prête à aller. Luigi n’est pas Luc. Ses exigences ne sont certainement pas les ...
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