Une initiation particulière
Datte: 11/01/2018,
Catégories:
f,
ff,
fbi,
copains,
piscine,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
massage,
intermast,
init,
fsoumisaf,
Depuis longtemps, lorsque nous faisons l’amour, ma femme, Nathalie, aime que je lui susurre des mots coquins dans le creux de l’oreille. L’expérience aidant, mes propos ont beaucoup évolué, pour se transformer en saynètes, dont, bien sûr, Nathalie est le centre d’intérêt. Ces pratiques ont un immense avantage qu’elles permettent de mieux connaître l’autre, et surtout d’explorer des pistes nouvelles, à savoirs des fantasmes inavoués, parce qu’inavouables… C’est ainsi que j’ai découvert les penchants lesbiens de Nathalie, qui s’en est toujours défendue lors de discussions, mais qui montre une forte émotion à leur évocation sur l’oreiller, et là, le corps ne ment pas. J’ai donc concentré mes « histoires » sur ce sujet. Plus je la mettais dans des situations scabreuses et très « cochonnes », plus son plaisir était intense. Durant les vacances, j’ai commencé à intégrer dans mes histoires des femmes vues au cours de la journée sur la plage ou au bar. Je ne me lassais pas de contempler l’émoi de Nathalie lorsque nous croisions une des jeunes femmes avec laquelle elle avait fait virtuellement l’amour quelques heures plus tôt. Les fantasmes portaient tous sur des inconnues, mais un jour j’ai décidé d’évoquer Corinne, la meilleure amie de Nathalie. La première fois j’ai essuyé un refus, Nathalie prétextant qu’il ne fallait pas tout mélanger… Têtu, j’ai réessayé quelques semaines plus tard, et j’eus le plaisir de constater que l’idée avait fait son chemin. Son sexe avait rarement été ...
... aussi humide, et les gémissements accompagnant sa jouissance montraient que je ne m’étais pas trompé. Nathalie fantasmait bien sur une aventure féminine, mais avant tout avec Corinne Au retour de nos vacances, Corinne devait passer chez nous dans l’après-midi. À l’issue du déjeuner, je suis parti faire une sieste, que j’espérais coquine, mais Nathalie ne m’a pas rejoint comme à son habitude, prétextant une trop forte chaleur, ce qui n’était pas faux. Elle m’a dit qu’elle préférait se reposer sur le canapé. Je sentais bien qu’il y avait quelque chose d’inhabituel. Au bout de quelques minutes, je me levai sans bruit, et m’approchai du salon. Le spectacle fut à la hauteur de mes attentes. Je la vis allongée, nue la main entre les cuisses, en train de se masturber. Elle était magnifique, mais ce qu’il y avait de plus troublant, c’est qu’elle m’a toujours dit ne se branler que très rarement seule, ne le faisant qu’en ma présence. Cette fois, je pénétrais au plus profond de son intimité. Je voyais son doigt caresser lentement son clitoris alors que son autre main pinçait vigoureusement la pointe de son sein. Elle tirait sur le téton et le tordait, ce qui devait être douloureux, mais elle semblait y prendre beaucoup de plaisir. Puis, elle glissa deux doigts dans son sexe avant de les porter à sa bouche. Ils étaient trempés, et elle jouit, secouée de spasmes impressionnants. Je m’éclipsai pour aller me soulager tant mon sexe était en érection. À mon réveil « officiel », je la trouvai ...