1. Visite chez le spécialiste (1)


    Datte: 11/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... Disant cela, ma main se pose sur son ventre et je commence à la caresser. Nadia ferme ses yeux et gémit. vgdvqqpn — Oui, c’est vrai qu’il me plait bien, lorsqu’il m’ausculte, je sens mes seins se gonfler et mes tétons devenir dur comme de la pierre. Je ne peux que confirmer, ses tétines pointent au travers du fin voile de dentelle du soutien. Ma main se pose sur son seins et je lui tord son téton au travers du tissu. — Salope, tu aimes m’exciter et exciter tout ce qui a une queue. — Oui, j’aime et vu la bosse sur le devant de ton short, ce n’est pas pour te déplaire. — Oui, ca m’excite. Ma main descend vers son slip, et passant directement sous l’élastique, je vais directement à son abricot. Elle s’est rasée en plus, il n’y a plus un poil, juste une fente lisse et déjà poisseuse de mouille. — Tu mouilles, ce n’est pas possible, tu es une vraie obsédée. — Oui, et comme il n’a pas l’air de revenir, tu ne me donnerais pas un bonbon à sucer. J’ai compris de suite, je baisse mon short et boxer. Mon sexe se dresse fièrement, je suis debout à côté de la table d’auscultation, je me déplace vers la tête de Nadia qui en ouvrant simplement ses lèvres se retrouve avec mon gland en bouche. Je ne suis pas en reste, je lui astique son abricot, mon ...
    ... doigt entre dans sa fente. Un puis deux et mon pouce astique son bouton. Tout occupés que nous sommes, nous n’avons pas entendu la porte s’ouvrir. — Et bien, vous jouez au docteur tous les deux. — Désolé docteur, comme nous ne vous voyons pas revenir, je suis venu réconforter Nadia. — Oui, je vois, vous pouvez continuer, vous êtes mes derniers patients aujourd’hui. — Docteur, venez m’ausculter car Paul ne trouve pas de quel mal je souffre. — Madame, à première vue, vous ne semblez pas souffrir. — Si docteur, je dois avoir un souci. Paul n’arrête pas de me faire couler, est-ce normal. Le docteur s’approche et se place au pied de la table d’examen. Il prend Nadia par les hanches et la fait descendre vers le bas de la table. Nadia a maintenant ses fesses au bord de la table. Il se saisit du bout de tissu couvrant le sexe de Nadia. D’un geste rapide, ce dernier se retrouve au sol. Il défait le lacet de son pantalon de travail, ce dernier lui tombe sur les chevilles, il est nu dessous. Le docteur est bien monté, un sexe long, épais et surtout ce que Nadia aime, circoncis, un gros bourgeon chapeautant une bonne tige. Nadia qui est toujours allongée ne voit pas ce membre. Je lui susurre à l’oreille. — Sa bite, c’est la jumelle de la mienne. 
«12»