1. Où il est question de se faire tirer... le portrait (3)


    Datte: 06/07/2017, Catégories: Erotique,

    ... n’est pas si loin. J’entreprends de réunir mes doigts pour former mon poing. — Oui, comme ça... hummmmm oui, je suis pleine... Au fur et à mesure de mon avancement, elle manifeste de plus en plus son plaisir. — Attends, arrête un instant s’il te plaît. — Que t’arrive-t-il ? Je te fais mal ? Pardon — Non, non... je veux te voir quand tu me fistes. Retire toi. Je ressors mon poing de son vagin. Elle se met sur le dos et s’ouvre à nouveau les cuisses. — Viens. J’obtempère, remets mes doigts en cône, pénètre son antre et reforme mon poing. De son côté, elle pose deux doigts sur son clitoris. Il est intégralement sorti maintenant de son capuchon, merveilleusement arrondi, luisant dardant vers moi. Assez développé je dois dire, une toute petite bite... — Tu es belle comme ça Ghislaine. Je fouille maintenant son fourreau brulant tandis qu’elle reprend sa masturbation de plus en plus rapide. Moi aussi, j’accélère le mouvement, faisant tourner mon poing, cherchant à bien frotter le muscle qui m’enserre. Je "pompe" également. — Ouiiiiiiii continue, hummmmmmmmmmmmm, ouiiiii, c’est booooon. Je vois mon poing s’enfoncer en elle. Je fais mine de le retirer, puis l’enfonce à nouveau, tout en ...
    ... tournant. À chaque fois que je tire, je vois ses membranes, ses lèvres, s’étendre vers l’extérieur, comme si j’étais en train de faire "sortir" son vagin. Mais non, à chaque fois que je pousse, tout reprend sa place. Elle se frotte maintenant à toute vitesse... Et ça repart. Elle émet quelques gouttes qui viennent montrer son plaisir. Elle se tend et commence à trembler comme lors de ses orgasmes précédents. — Continue Xavier, continue ouiiiiiiiiiiiiiii, je jouiiiiiiiiiiiiis. Et ça dure... Et ça dure... quinze, vingt longues secondes. Avant qu’elle ne retombe et ne revienne dans mon monde. Mon poing est toujours fiché en elle. Elle se met sur ses avant-bras et regarde son bas-ventre. — Tu me remplis bien. Je te sens en moi. C’est bon, tu me fais grimper aux rideaux Xavier... — J’ai rarement, jamais même, vu une femme jouir autant que toi Ghislaine. C’est merveilleux. Je te l’ai dit tout à l’heure, je ne sais pas si tu as entendu, tu es d’une beauté rare quand tu jouis. — Merci, c’est gentil ce que tu me dis là. Mais toi, oh, mon pauvre, dans quel état es-tu ? Effectivement, je regarde mon bas ventre. Je suis tendu comme je l’ai rarement été. Mon sexe est dur, érigé, décalotté. 
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