1. Nous quatre


    Datte: 11/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    Chapitre 1 Amis de longue date Anne et Jean-Pierre sont nos amis depuis 15 ans. Au réveillon, l’alcool ne faisant pas bon ménage avec la conduite, nous leur avons proposé de dormir chez nous. Tandis que Jean-Pierre et ma femme bavardaient au salon, Anne en profitait pour prendre une douche avant de se coucher pendant que je préparais la chambre d’amis voisine. A un moment Anne m’appelle : —Excuse moi Jean, je n’ai pas de serviette Je lui en rapporte une mais, je ne sais pas pourquoi (menteur), au lieu de la déposer sur le lavabo voisin je vais à la cabine de douche dont j’ouvre la porte. J’avais une idée des courbes d’Anne, la connaissant depuis longtemps, mais je pensais que la tenue de ses seins était due au soutien-gorge… et bien non ! Ils se dressent fièrement malgré ses 40 ans. Mais l’autre étonnement c’est quand mon regard glissant entre ses cuisses découvre un minou parfaitement glabre. Je m’attendais à me faire incendier mais, est-ce dû à l’alcool, Anne me souris et me dit : —Ça y est ? tu as vu ce que tu voulais ? Il te reste à m’essuyer maintenant. Croyez-le ou non je n’ai pas hésité ! Après lui avoir essuyé le dos, mes mains l’on contournée pour lui sécher la poitrine, mais bien vite la serviette m’a échappée et mes mains se sont emparées de ses superbes seins, si tendres, si fermes, dont les tétons agaçaient ma paume. Mais il ne fallait pas, par discrétion, nous attarder trop longtemps alors mes mains sont descendues prendre ses fesses… superbes fesses cambrées ...
    ... et bien fendues, alors que mes yeux se rivaient sur sa chatte dont les grandes lèvres à présent entrouvertes laissaient entrevoir les plus petites, brunes, fines et frémissantes. Ma bouche se posa dessus mais Anne me repoussa : —Non Jean ils vont se demander ce qui se passe, mais une autre fois promis ! Du coup l’air détaché je retourne au salon et je vois…. Ma femme qui embrasse Jean Pierre à pleine bouche tout en plongeant la main dans son pantalon. Sur le moment la fureur me gagne, puis je me dis que du coup ils leur deviendrait impossible de critiquer mon attirance pour Anne. Je retourne discrètement prévenir Anne du retournement de situation puis nous faisons notre entrée dans les bras l’un de l’autre. Jean-Pierre sursauta, mais comment protester alors que ma femme avait sortie sa grosse bite et la caressait tendrement ? Me retournant vers Anne, je rapprochais mon visage du sien et ma langue entreprit de se glisser dans sa bouche pour une visite détaillée. Visite guidée d’ailleurs car aspirant aussitôt ma langue, elle entreprit de me la sucer et boire ma salive. Tout en restant enlacés nous nous rapprochâmes du couple sur le divan. J’y assis Anne à côté de son mari et m’agenouillais à côté de Lise, ma femme, ma tête se frayant un passage entre les cuisses d’Anne. La main de Lise se referma d’une pression sur la mienne, c’était donc un feu vert commun. Les minutes suivantes ne furent que râles et soupirs quand Lise embouchait la bite de Jean-Pierre en lui caressant les ...
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