La pose
Datte: 12/01/2018,
Catégories:
f,
ff,
fff,
fffh,
copains,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
intermast,
Oral
... chose que j’ai déjà vécu avec Mylène. Je crois que c’est ce plaisir de voir les autres dans leur intimité. Soudain Linda, qui masturbe avec conviction un Michel qui, lui, ne dit rien, les yeux fermés, résigné, tel un esclave de Michelange, s’approche de sa verge, ralentit le mouvement, la décalotte légèrement, et sans autre forme de procès, la gobe sous les regards de trois filles visiblement partagées entre l’étonnement, la curiosité et peut-être l’envie. Une ou deux minutes passent, dans un silence religieux et Karine miaule doucement : — Tu m’en laisses un peu, Linda ?— Ok, ! répond-elle, ayant récupéré l’usage de la parole, avec une mimique de regret. Karine s’approche, pose une main sur la cuisse gauche de Michel, puis lentement, s’aventure sur ses fesses, doucement, tendrement. De l’autre main, elle s’insinue entre les deux jambes, provoquant chez Michel un léger mouvement d’écartement. Puis ses lèvres se posent sur ses bourses qu’elle vient de dégager, et entame une série de bisous de plus en plus mouillés. Lentement, elle remonte de la base de son sexe à son extrémité, la langue bien sortie, en quelques allers-retours lents et tendres. C’est beau. Tendre. Sensuel. Extrêmement sensuel ! Les regards de mes amies en disent long de leur approbation, leur envie, leur excitation. Isa, mon Isa, mon amie, se laisse aller complètement. Assise, elle a dégrafé son jean et sa main est plongée dans son slip, sans aucune retenue, les yeux fixés sur la bouche de Karine et le sexe ...
... de Michel. Cela devait être un signal pour Linda, car celle-ci relève sa jupe et écarte son petit slip blanc, laissant apparaître une toison fournie mais soignée. Elle ne s’embarrasse pas de fioriture et plonge directement deux doigts dans son intimité. Elle m’avait toujours dit qu’elle était vaginale et qu’elle n’aimait pas perdre de temps en fioritures. J’en ai la preuve. Moi, je suis béate. Je sais au fond de moi que ce qui se passe est un moment fort entre nous, qui pourrait le nier, mais, en plus, je vis pleinement ce que je vois. Je suis excitée, c’est sûr, mais je ne sais si je me mets à la place de cette bouche ou de ce sexe, de cette femme ou de cet homme, ou bien de mes deux amies qui se livrent devant nous. J’ai l’impression de ressentir leurs sensations à tous les quatre. Pas l’un après l’autre, mais l’ensemble. La main de Karine qui lui caressait les fesses, s’enfonce soudain dans la raie de notre modèle, lentement. Étant de profil, je suis sans doute la seule à le voir. Le visage de Michel passe de l’étonnement au rictus, puis à un abandon, ce qui en dit long sur ce qu’il vient sûrement de se passer : la pénétration de son anus par un doigt inquisiteur. Rien que de penser « pénétration de son anus », j’en suis toute retournée. Ma respiration est plus intense. Le traitement infligé à Michel lui fait rendre les armes sans doute plus vite que prévu par celles qui n’ont pas tout vu, et son abandon ne fait nullement lâcher prise à Karine, qui ne laisse rien voir de ce ...