1. LE MARIN. La Parisienne en vacances. (2)


    Datte: 12/01/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... J’adore le poison, mais je n’ai rien ici pour le faire cuire. Le temps que je rentre à Paris, il sera fichu et ma voiture empestera le poisson pourri. • Christian, je sais que le port de pêche à cette heure t’est inconnu, car tu as l’habitude avec mes garçons d’aller chez Janine. Conduit la demoiselle chez Louise deux restaurants plus loin, elle vous cuira le poisson que vous allez choisir et que je vous offre. Dit lui que tu viens de la part de Roger, c’est ma cousine, elle est mariée avec ma petite sœur Gaëlle. Je rigole, car il vient de me dire que sa sœur et sa cousine sont des lesbiennes et qu’elles vivent ensemble. Ouvert le frère, il semble accepter naturellement que sa sœur soit une brouteuse de chatte avec son amie. J’ai du mal à voir où ma journée va me conduire entre les mousses homos dans le tonneau, la sœur de Roger lesbienne et Véronique qui se colle de plus en plus à moi m’apportant naturellement une érection. • Vous voulez visiter le chalutier, Mademoiselle. • Tu repars trop rapidement, quand rentres-tu après la pause de tes hommes ? • Dans deux jours pour la marée de 21 heures trente. • Cela te dirait de venir visiter Véronique. • Je serai enchanté et je mettrai une tenue plus adaptée pour monter à bord. • Tu sais que c’est un honneur, une femme à bord, les anciens pensaient que c’était un signe de malheur comme d’employer le mot corde, eux disent un bout. • Que voulez-vous comme poisson, tenez, un joli carrelet, bien grillé comme sait les faire Louise, ...
    ... vous allez, vous régalez ? • Ce machin tout vilain c’est un carrelet avec ses deux yeux du même côté, à Paris chez le poissonnier, ils sont en filet sans les yeux. Il n’est vraiment pas beau. • Oui, mais c’est un des poissons les meilleurs. • Merci du cadeau, dans deux jours, je vous ferai, moi aussi un cadeau à vous et à vos gars. Son équipe a fini le travail, l’équipe de la criée est venue chercher le poisson et nous les regardons détacher le bateau puis repartir. Véronique s’étonne de la rudesse du métier et me suit jusqu’à la voiture. Nous reprenons le chemin de la Rue principale où se trouvent les bars et autres restaurants. Je montre au passage celui de Janine que je fréquente lors de mes sorties nocturnes. Le restaurant où nous a dit Roger de nous rendre vient d’être repeint très récemment, car l’air marin aide à la dégradation rapide. C’est dans une petite rue sur le côté du restaurant où Véronique gare la voiture préférant qu’elle soit à l’ombre. Aussitôt le moteur arrêté la belle dame me prend par le cou et nos bouches se trouvent avec envies. Sa main sans hésiter enlève les quatre boutons et sa main glisse dans le slip kangourou fourni par la marine bien trop grand, mais qui pour une fois permet à mon sexe de se développer sans manquer de place. Quittant ma bouche, cette dernière vient engamer ma verge tendue à m’en faire mal et me pompe en parfaite experte qu’elle semble être. Vu sa position je glisse, moi aussi une main dans son corsage et dans son bonnet de ...