1. Usure du temps, réveil des sens


    Datte: 06/07/2017, Catégories: fh, couleurs, extracon, vacances, voyage, vengeance, Oral

    ... plus en plus fort et de plus en plus vite jusqu’à entendre Sandrine lui dire qu’elle jouissait en lui griffant le dos. Elle hurlait « Encore, encore… » ; il ne s’est donc plus arrêté avant de se lâcher bruyamment en elle. Son mari l’a vue et entendue. Elle en a rajouté pour lui faire mal, mais bien fait pour sa gueule. Elle a joui comme une folle, elle a aimé se faire prendre brutalement, elle a aimé sucer cet homme, elle a aimé le sentir jouir en elle. Et elle a aimé que son mari voie ça. Elle n’est pas rentrée de la nuit. Son moniteur est parti assez vite, alors elle a traîné au hasard dans le club, finissant par s’endormir sur un bain de soleil. Quand elle est rentrée, son mari dormait encore. Elle est allée prendre une douche puis a ouvert les rideaux. Il n’a pas dit un mot, pas fait une allusion, pas posé une question. Leur journée s’est déroulée comme les deux précédentes. Elle aurait préféré qu’il explose, qu’il l’insulte, qu’il la gifle peut-être même. Mais non. Rien. Et le soir venu, quand ils se sont retrouvés au lit, elle a à nouveau essayé de l’exciter. Elle lui a caressé le sexe, l’a même sucé, mais alors qu’il bandait un peu, il lui a tourné le dos. Goujat. Tu parles d’une Saint-Valentin. Il n’a pas voulu lui faire l’amour la veille, il n’a pas non plus voulu le ...
    ... jour même, et il a au contraire vu sa femme s’éclater avec un autre (se faire éclater plus exactement). Furieuse mais résignée, elle est sortie de la chambre à nouveau, cette fois plus pour se promener, mais pour chercher un compagnon pour la nuit. Les animateurs du club sont aussi là pour ça, dit-on. Elle est allée au bar demander si quelqu’un savait où se trouvait Icham, le moniteur de voile. Elle a été vite renseignée, l’a rejoint dans sa chambre. Ils dorment à deux dans ces bouges exigus, mais elle ne s’est pas formalisée. Le collègue est resté sagement dans son lit à mater pendant que Sandrine se faisait à nouveau défoncer. Être discrète n’était plus une préoccupation. Elle se foutait pas mal que tout le monde sache, et même qu’on puisse la voir. Ils étaient là pour deux semaines. Icham n’a pas pu s’occuper d’autres clientes. Sandrine avait besoin de rattraper le temps perdu. Son mari ne lui a fait aucun reproche. C’était pour elle la pire des humiliations, mais le plaisir qu’elle a accumulé pendant ces deux semaines valait bien ça. La veille de partir il a enfin consenti à lui donner quelques signes d’envie. Elle venait d’avoir ses règles. Il s’est branlé tout seul comme un con. À leur retour, la décision de Sandrine était prise : son mari ne le serait plus pour très longtemps. 
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