1. Paris sous la neige


    Datte: 12/01/2018, Catégories: f, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, Masturbation

    Houlala ! Quel dimanche ! Cette journée professionnelle chargée de conférences et avec un dîner-débat a été épuisante. Assise de 9 heures à 19 heures à écouter des intervenants… j’ai la tête comme une citrouille. Qui plus est, aujourd’hui la neige est tombée, rendant les rues de Paris merveilleuses et le jardin du Luxembourg d’une beauté exceptionnelle. J’aurai tellement aimé prendre mon reflex et mitrailler tous ces coins encore immaculés. Mais non, il m’a fallu passer dix heures assise à écouter les débats, manger et boire plus que de normal. J’ai horreur de ces journées de formation. Il est 20 heures, j’arrive enfin chez moi avec une seule idée en tête, celle de dissoudre ces dix heures de réunion dans un bon bain chaud. Mes mules restent au travers du hall d’entrée, mon sac et mon manteau font un vol plané sur le canapé du salon et tel un automate, je me dirige vers la salle de bain. Cette grande baignoire d’angle me tend les bras, j’ouvre les robinets et, pendant qu’elle se remplit, mon tailleur, ma jupe, mes bas et mes sous-vêtements finissent en vrac sur le carrelage. Mon pied s’aventure doucement au travers des cinq centimètres de mousse, l’eau est quasi brûlante mais je le fais pénétrer lentement dans ce monde de douceur, de bien-être. Mon deuxième pied à son tour suit le même chemin, puis avec lenteur et volupté, je me glisse au fur et à mesure dans cette douceur. L’eau me brûle les cuisses et je continue timidement. Sur les fesses, elle me saisit littéralement ...
    ... puis sur les lèvres, elle m’électrise me donnant en même temps des frissons et des suées. Une excitation, des sensations, et me voilà avec les seins fermes qui se contractent, se redressent et pointent comme un appel au secours. Je finis de me glisser dans ce bain de mousse d’où plus rien ne dépasse en dessous du menton. L’esprit enfin vide, je suis comme en apesanteur perdant la notion du temps. Quelques images traversent mon esprit, la pensée d’un ancien amant et pourquoi pas le rêve d’un futur… Mes mains d’une manière totalement machinale se posent chacune sur un sein, le malaxant doucement puis plus fermement, mes pouces et mes index d’une manière symétrique s’emparent inconsciemment des deux tétons et commencent à les rouler, les titiller de plus en plus énergiquement. J’ouvre les yeux et je souris toute seule dans mon bain. Pas comme ça, pas maintenant ! Au fait : le père Noël m’avait apporté une bonne bouteille de whisky de 18 ans d’âge. Je ne suis pas vraiment adepte du whisky mais ce soir, seule dans mon bain, j’ai envie de le goûter, j’ai envie de ne plus penser à rien, envie d’avoir envie. Envie d’une certaine folie peut-être. Alors je sors de la baignoire et toute dégoulinante de mousse, je vais me servir un grand verre de whisky au salon. Mon dieu, les stores de la baie vitrée sont ouverts, le salon est allumé et il fait nuit dehors… Au diable les convenances, ce soir je suis fatiguée, j’ai envie d’être un peu folle et je me fiche des bonnes manières et des « on dit ...
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