1. UM, DOIS, TRES


    Datte: 12/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... sentais parfaitement bien sa barre brûlante me labourer le ventre. J’ai creusé les reins pour m’offrir davantage. Après ce qu’il avait déchargé avec Catarina, je savais que ça allait durer un bon moment. C’est pas moi qui m’en plaindrais. Il m’a retourné sur le dos, allongé sur le sol de la douche pour qu’on se noie dans nos yeux. Son visage rayonnait. Il était magnifique de beauté, de puissance. Et ça a duré, ça a duré…Je sentais bien qu’il ne voulait pas en finir mais qu’il cherchait plutôt à prolonger ces instants à l’infini…Il me limait, me limait. Toujours au même rythme, lentement, voluptueusement…J’aurais voulu que ça ne finisse jamais. Pourtant, à un moment, j’agrippais ses fesses et lui faisais comprendre par gestes, que je voulais qu’il jouisse. Vas y Paulo ! Défonces moi ! Prends ton pied ! Fais moi jouir et explose ton miel en moi ! Emplis moi du nectar de ton désir ! Il s’est répandu en moi en deux longs jets, tétanisé. J’ai voulu le garder longtemps en moi mais il a tenu à me faire jouir, moi aussi. Il est ressorti de mon ventre et a commencé à me sucer. J’ai compris que c’est comme ça qu’il voulait que j’explose. Celle là aussi, je m’en rappellerai longtemps. P… que ce fut bon ! Je lui ai barbouillé le visage en jouissant. Il a nettoyé ma bite à fond, en la suçant. On s’est relavé, reséché et on a regagné la chambre à pas de loup. Catarina n’avait pas bougé. Elle dormait – ou alors elle faisait bien semblant -. On a repris nos places et on a sombré jusqu’au ...
    ... matin. C’est elle qui nous a réveillés, sur le coup de dix heures avec ses caresses feutrées. On ne lui a pas sauté dessus. Toute la matinée, elle s’est baladée dans l’appart vêtue d’un seul et unique magnifique slip brésilien jaune citron qui la mettait superbement en valeur. Nous aussi, on se baladait en slips. On adore ça tous les deux. Elle n’a pas manqué de poses aguichantes, de frôlements « accidentels ». C’est là qu’elle a du comprendre qu’il y avait eu un deuxième round. Sans elle. Sur le coup de midi, Paulo a proposé de sortir pour aller manger quelque part. On s’est longuement baladé avant de trouver un japonais délicieux. Sous la table, je sentais tout le temps les jambes et les pieds de Catarina qui me caressaient. Je suppose qu’elle en faisait autant avec Paulo. Pendant le repas, je l’ai trouvé un peu contrarié, agacé. Cela me parut bizarre car, d’habitude, Paulo est plutôt d’humeur joyeuse. Très souvent, Catarina cherchait à capter le regard de Paulo et n’y arrivait pas. Après le resto, on se balada encore en ville un long moment. On finit par rentrer à l’appart. On se remit en slips. Catarina cherchait de plus en plus le contact avec Paulo Agacé, il lui sauta littéralement dessus, presque brutalement. Il la prit sauvagement, par l’arrière. Ne lui enlevant même pas son slip, se contentant de lui écarter pour lui fourrer sa bite dans sa chatte d’un seul coup. Catarina gémit mais ne dit rien. Je ne reconnaissais plus mon Paulo, si doux d’habitude. Paulo la pilonnait ...
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