Stéphanie, chirurgienne et salope (4) - Histoires de Sexe

Stéphanie, chirurgienne et salope (4)

... dit-elle en riant. - Humm, je suis sûr que tu peux le faire ma chérie, je suis déjà très excité!! — On verra mon cour. Il faut que je te laisse car je dois me préparer et je vais être en retard. Je t’aime. — Bonne journée ma chérie et j’espère une bonne soirée pour toi. — Arrêtes, tu vas me rendre folle! Bisous je t’aime! Stéphanie raccroche et file prendre une douche. Elle pense à ce que son mari vient de lui dire. Il a envie de la voir se faire prendre pas ses deux patrons et sûrement qu’il voudra participer. Ses sens s’affolent et elle trouve cette perspective très alléchante. Elle ne se reconnait plus. Qu’est-elle devenue en deux jours? Son mari l’a complètement transformée avec ses histoires et elle doit se rendre à l’évidence, elle à vraiment pris son pied la veille et elle en redemande. Son mari et ses deux patrons l’ont transformé en salope qui veut des queues et... elle aime ça. Elle passe dans la chambre pour s’habiller, elle enfile ses bas clips noirs et une jupe classique noire qui lui arrive légèrement au dessus du genou. Un petit chemisier en soie blanche qu’elle boutonne juste ce qu’il faut pour que l’on devine sa poitrine complète sa tenue. C’est décidé, aujourd’hui elle ne portera pas de sous-vêtement. Le frottement de la soie sur ses seins fait darder ses tétons qui deviennent tout dur. Cela devrait réveiller la libido de ses deux collègues pense-t-elle. Elle enfile ses escarpins rouges à talons aiguilles et se rend à l’accueil où ses collègues l’attendent ...

... déjà. Ils s’embrassent sur la joue et après un rapide petit déjeuner, ils se rendent au palais des congrès où des conférences vont se tenir toute la journée. Aucune allusion n’est faite à propos de la veille et les deux hommes la traitent avec courtoisie et bienveillance. Ils retrouvent le professeur B. et Sandrine devant la porte de la salle. Murielle a du rentrer précipitamment à Lyon car son fils vient d’être hospitalisé. Rien de très grave mais elle préférait être à ses coté explique Charles aux nouveaux arrivant. Ils prennent place dans la salle, et Stéphanie se retrouve entre Sandrine et Franck. Les deux professeurs de leur coté ont été invités à se rapprocher de leurs éminents collègues. Les intervenants s’enchaînent et lors d’une présentation peu intéressante pour les deux femmes, Sandrine propose à Stéphanie de venir se repoudrer le nez avec elle. Les deux femmes abandonnent Franck et se retrouvent dans les sanitaires. Le local est vide et profitant de ce moment d’intimité, Sandrine demande à Stéphanie comment s’est terminée sa soirée. Cette dernière lui raconte dans le détail ses ébats avec ses deux patrons comme si elles se connaissaient depuis toujours. — Et toi, comment s’est terminée la tienne, demande Stéphanie avec un intérêt certain. — Lorsque nous partons en congrès toutes nos soirées se terminent bien avec Charles. - Ah! raconte. — Depuis trois ans, nous avons pris l’habitude de prendre deux chambres communicantes. Une pour Charles et l’autre pour Murielle ...