Week-end anniversaire (2) - Histoires de Sexe

Week-end anniversaire (2)

Salut c’est votre folle de lycra. Précédemment je vous parlais de mon adolescence exclusivement entourée​ de femmes le samedi et comment j’avais fêté mes 18 ans en excellente compagnie féminine (ma cousine et surtout ses amies). Ces 6 dernières années, j’avais pris de plus en plus le goût aux dessous féminins au point de me travestir de plus en plus souvent. À 18 ans et un jour c’est Hélène une amie de ma cousine qui me prenait mon pucelage pour mon plus grand bonheur compte tenu en plus des circonstances et du contexte. Nous étions dimanche voilà une journée que j’étais majeur, j’étais allongé sur le lit d’Hélène, je venais de me vider en elle. Pour mon plus grand plaisir j’étais vêtu d’un porte-jarretelle, d’un tanga, de bas satinés couleur chair et d’un caraco en lycra. C’est un des 18 ensembles féminins que l’on m’avait offert la veille pour monter ma garde-robe dont je m’étais paré... J’étais un peu la tête dans les nuages; je venais de partir dans Hélène et elle s’était allongée sur moi en gardant mon sexe en elle, je savourais sa douceur et sa gentillesse. Ses côtés dominatrice, autoritaire et directive me plaisaient énormément. Je sentais son vagin se contracter sur mon sexe bien que ce dernier ait un peu rétréci. Ses longs cheveux me caressaient le visage pendant qu’elle m’embrassait, de temps à autre elle se redressait et je sentais ses cheveux me caresser le torse. Il n’y a pas à dire l’amie​ de ma cousine adorait faire l’amour. Mon sexe qui était encore un gros ...

... dard voilà quelques instants était devenu un petit kiki, c’est cette occasion qu’Hélène a décidé de saisir pour donner fin à notre rapport. Elle s’est redressée puis s’est levée avec énormément de grâce et de féminité. Je suis resté allongé comme je l’étais encore quelques instants, histoire de savourer ce moment puis hélène est revenue​ en me tendant une nuisette longue et douce, de jolis escarpins vernis et surtout un large collier rose qu’elle m’a attachée autour du cou. Elle m’a expliqué que dorénavant je serais sa petite cochonne soumise et obéissante à qui elle donnerait du plaisir; donc il fallait que je m’habille et me comporte comme telle... Cette femme qui venait de me faire homme avait tout prévu jusque dans la pointure des escarpins. C’est ainsi vêtue que nous sommes parties déjeuner j’étais un peu gênée et surtout maladroite dans ma démarche. Désormais elle ne parlait de moi qu’au féminin, cela me gênait mais en même temps m’excitait. Elle m’a expliqué qu’à chaque fois que je viendrais là il faudrait que je mette mon petit collier. Elle avait une cuisine américaine et nous avons déjeuné sur une table haute assises sur des tabourets. Le plus excitant pendant le repas c’est quand elle se mettait un petit doigt dans le minou et qu’elle me le donnait à sucer. Elle me dit "pendant des années tu as voulu t’habiller comme une femme maintenant tu l’es et tu vas le devenir" cela me mis à nouveau le feu. En même temps je m’interrogeais sur cette dernière partie de la phrase ...