1. L'Île de Marana Chapitre 08


    Datte: 07/07/2017, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... car la rivière s'enfonce dans les rochers. On commence à monter, sans doute les contreforts de la montagne du centre de l'île, où se trouve le Temple Doré. Je n'arrête pas de penser à ce qui se passe. Je suis le seul garçon que ces femmes géantes apprécient. Elles tuent les hommes, sans vergogne, sans remord. Jusqu'à présent, je suis apprécié, mais jusque quand? Je peux très bien décevoir quelqu'un, ou on me fait manger un truc que je devrais digérer et en fait c'est un poison. Cela me fait du bien de me retrouver seul dans la nature. J'adore ce pays à la faune et flore uniques, et si différentes de ce que l'on connaît. Dire qu'on ne peut pas photographier. Il y a tellement de merveilles. D'abord les plantes et les fleurs aux couleurs fantastiques, parfois même une plante comme un arc-en-ciel, des oiseaux inconnus, grands et petits. Dans la rivière, les poissons ont des couleurs écarlates, vives, comme si elles avaient été créées de toutes pièces. Je n'ai aucune difficulté à marcher toute la journée. Parfois, je croise des bateaux sur la rivière en contrebas, on me fait signe, surtout les touristes qui rejoignent Mar'Oda. Avant la fin de la journée, je croise deux géantes noires qui me saluent gentiment avant de poursuivre leur route. Ma première soirée dans la nature. Il paraît qu'il n'y a rien de dangereux ici, je fais un feu et mange une partie des provisions de l'auberge. Je ne sais même pas si je peux chasser ou pêcher, et je ne veux pas prendre le risque, la loi est ...
    ... trop sévère ici. Je m'endors dans un recoin à une dizaine de mètres du chemin. Rien ne vient troubler ma nuit et au matin, je me remets directement en marche. Je croise encore de nombreux bateaux, et plusieurs fois des géantes noires qui vont à Mar'Salla. Parfois des bateaux remontent la rivière, sans moyen de propulsion apparent. Vers 16h, à mon estimation du parcours du soleil, j'avise un endroit avec une crique et une grotte. J'examine la caverne bien fraiche et décide de passer la nuit. D'abord, je ramasse du bois mort et m'en fais un grand tas, puis je décide de faire ma lessive. Je suis seul. Je retire ce que je porte et prends toutes mes affaires pour les laver dans la rivière avant de mettre le tout à sécher dans les buissons. Que c'est agréable d'être ainsi nu dans la nature! Je vais d'abord nager dans la rivière. L'eau est douce, très douce même. Je nage lentement, me laisse porter par le courant quand j'entends une sirène. Je sursaute et bouge à l'arrivée d'un bateau qui descend la rivière. Des géantes noires et un groupe d'une vingtaine de touristes, rien que des filles, d'un peu toutes les origines. Elles me font signe. — Viens avec nous, crie une arabe! J'ai envie de voir ton beau petit cul! Elles semblent assez dévergondées, comme si le voyage les changeait. Les filles sur le bateau rient. Il y a même des filles noires, des filles de ma taille, qui donc ne viennent pas de l'île. Elles me regardent également. Je retourne à la berge. — On ne peut pas l'embarquer? ...
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