Initiation d'une jeune fille de 20 ans par une sexagénaire épanouie
Datte: 14/01/2018,
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Dans la zone rouge,
... encore, tout dépend comment on suce. Tu as déjà avalé du sperme ? - Euh, non. - Tu vois. Une bonne suceuse avale. As-tu déjà léché les couilles de ton partenaire ? Lui as-tu mis le doigt dans le petit trou pour aller taquiner sa prostate ? - Ah non, pas du tout. Je ne savais même pas que ça se faisait. - Et si pourtant. Comme de lécher l'anus. La plupart des hommes adorent ça. - Ce n'est pas très propre dis donc... - La notion de propre et de sale n'intervient pas dans le sexe. On cherche avant tout à donner du plaisir et si possible à en prendre aussi. Moi, j'aime lécher l'homme, partout partout... - Je ne pensais pas qu'on pouvait faire l'amour comme ça. Avec papy, tu fais ça aussi ? - Bien sûr et même davantage. On est de vrais cochons tous les deux. On ne fais plus l'amour, comme tu dis. On baise. Comme lorsqu'on rencontre un autre couple. On adore baiser devant un miroir. J'aime voir sa queue entrer et sortir de ma chatte, voir son cul remuer, me voir jouir... On aime aussi se chauffer en se parlant, en se disant des mots crus. Je lui parle de sa queue. Les hommes adorent qu'on leur parle de leur queue. On baise, quoi. - C'est quoi, la différence, entre baiser et faire l'amour ? - Faire l'amour, c'est l'acte sexuel dans sa pureté et sa tendresse. Baiser, c'est le sexe pour le sexe. Quand je baise, même avec ton grand-père, je laisse s'exprimer la bête qui est en moi, profondément. Ce qui n'exclut évidemment pas les sentiments... une fois que j'ai remis ma culotte ! - ...
... Tu es vraiment une sacrée cochonne, mamy. - Tu peux dire salope, ça ne me gêne pas. Je suis devenue salope avec l'âge. Je ne regrette qu'une chose, c'est de ne pas l'être devenue plus tôt, quand j'étais vraiment désirable. Qu'est-ce que je me serais éclatée ! Mais j'avais encore des préventions, comme ta mère. - Mais tu es encore belle ! Tu crois que je peux devenir salope, moi aussi ? - On ne le devient pas sur commande. C'est le corps qui parle. Déjà, il faut vaincre ses tabous. - Et c'était quoi, tes tabous ? - Eh bien, par exemple, j'avais des réticences envers la sodomie. Quand j'ai commencé à me faire prendre par derrière, j'avais déjà 40 ans. Avec ton grand-père, on a essayé après avoir vu un film porno. Au début, ça m'a fait un peu mal, mais j'ai fini par y prendre goût, et maintenant, je ne peux plus baiser sans me faire enculer... (elle glousse). - Moi, je n'ai jamais essayé. Tu crois que je devrais ? - Je te le conseille vivement, à condition de trouver un partenaire d'expérience, qui te prépare bien avant. - On en revient toujours là. Et tu as eu d'autres tabous ? - J'avais du mal à baiser en dehors du lit conjugal. Puis on a fini par faire ça partout : dans toutes les pièces de la maison, en pleine nature, même dans les toilettes d'un restaurant... Mais c'est surtout baiser autrement qu'en couple qui m'a fait franchir un cap. Se faire prendre par deux ou trois hommes à la fois, quel pied ! - C'est choquant, ce que tu dis, mamy. - Je t'avais prévenue. Tu es encore ...