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Victoria entre dans notre famille
Datte: 18/06/2017, Catégories: hf, hplusag, jeunes, piscine, Oral fsodo,
C’est le silence qui me réveilla. Allongé au frais dans ma chambre, je me reposais en attendant que ma fille de vingt ans et ses amis eussent enfin quitté la piscine, pour pouvoir faire trempette en toute tranquillité. La canicule faisait rage et je n’avais pas eu le cœur de résister à la demande de mon trésor qui voulait fêter son anniversaire au bord de l’eau avant d’aller faire une virée en ville. Donc le silence. Enfin. Dans un demi-sommeil, je regardai la radio qui m’indiquait dix-sept heures. C’était mon dernier soir de solitude car Cécile, mon épouse, et ma deuxième fille devaient rentrer le lendemain d’un weekend à Paris « entre filles ». Je cherchai mon boxer de bain et me glissai dedans avec difficulté. Mon sexe dressé témoignait d’un rêve érotique dont, malheureusement, je ne me souvenais plus ! A priori personne ne se trouvait dans la maison et je savourais ce moment de paix. Après un passage à la cuisine pour un verre d’eau fraiche, je me dirigeai vers la terrasse. Un instant ébloui par le soleil, je fermai les yeux et lâchai une remarque pour moi-même — Putain que cela fait du bien d’être enfin seul ! Je m’étirais pour me réveiller tout à fait, mais un toussotement me fit sursauter. Un regard vers l’origine du bruit et je découvris avec surprise Victoria, une amie de ma fille. Je lui souris. — Tu m’as fait peur ! Elle sourit timidement. — Désolée… Je la rassurai. — Pas de souci. Je me croyais juste seul. Tu ne me déranges pas. En même temps, je me demande quel ...
... genre de mec de cinquante ans comme moi serait dérangée par une créature pareille ! Vic c’est la fille que tout le monde aime et que toutes les filles aigries détestent. Vingt-et-un ans, blonde aux yeux bleus, un sourire magnifique et un corps aux formes généreuses : elle dégageait une sensualité terrible. Elle ne rentrait pas dans les critères de beauté des jeunes filles actuelles mais elle s’en moquait à priori, et les hommes qui la croisaient aussi. Ceux-ci devaient tout comme moi à l’instant ne voir que sa superbe poitrine, hélas masquée pour le moment par un maillot de bain deux pièces noir dont le haut semblait vraiment trop petit pour elle. Je devais sourire bêtement car elle rit : — Vous allez griller sur place si vous restez au soleil. Retombant sur terre, je tentai de prendre un air naturel et me mit aussitôt à l’ombre. Un transat libre à côté d’elle m’attira et je m’installai, à distance raisonnable tout de même. Vic souriait toujours et intrigué je la questionnai : — Tu n’es pas partie avec les autres ?— Ben non. Je n’avais pas envie de suer en ville. Mais je peux les rejoindre si je vous dérange ? Un peu trop vite à mon goût je la rassurai : — Non, non. Tu peux rester. Tu ne me gênes pas.— Merci. Son sourire m’aurait rendu dingue si je n’avais pas l’âge d’être son père. Je détournai le regard pour chasser des images incorrectes de mon esprit et saisissant un journal économique, je repris une posture plus convenable. Mais cette lecture m’assoupit et ce fut un plouf ...